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Archives Journalières: 17/09/2018

The conversation : Agrippine, ou le destin tragique d’une femme de tête.(2° article du jour)

17 lundi Sep 2018

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

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  1. Christian-Georges Schwentzel

    Professeur d’histoire ancienne, Université de Lorraine

Université de Lorraine

 

Tête en marbre qui pourrait représenter Agrippine la Jeune (15-59 apr. J.-C.). Musée du Louvre

Le Musée du Louvre a ses stars : la Vénus de Milo, la Joconde, la Victoire de Samothrace. Cependant d’autres œuvres, moins connues, nous racontent elles aussi des histoires fascinantes, comme ce portrait en marbre qui pourrait représenter l’impératrice Agrippine, mère tyrannique d’un fils non moins tyrannique, le célèbre Néron.

La coiffure féminine : un art romain

Ce qui attire d’abord le regard, c’est cette étonnante chevelure toute en boucles. D’abord, un chapelet de bouclettes, parfaitement semblables les unes aux autres, rigoureusement alignées au sommet du front. Puis, au-dessus, des boucles plus grosses qui font penser à des rangées d’escargots. Et enfin, derrière les oreilles, encore des boucles, très longues cette fois, en forme de tire-bouchon, qui s’écoulent dans la nuque.

Toutes ces spirales n’ont rien de naturel. Elles ont été obtenues au moyen de fers à friser que les mains expertes des coiffeuses romaines faisaient chauffer avant de tordre les mèches de leurs maîtresses.

Les nobles dames comme Agrippine détestaient les coiffures trop simples. Il fallait que les cheveux soient travaillés. Elles renonçaient à leurs coupes sophistiquées uniquement pour les enterrements. Les chevelures naturelles étaient synonymes de deuil ou de basse condition sociale. Entre une esclave et une aristocrate, il n’y avait pas seulement une différence de statut, mais aussi de coupe de cheveux. Les chevelures les plus compliquées, domestiquées à l’extrême, passaient pour le summum de l’élégance romaine. À Rome, la coiffure des femmes était devenue un véritable art, au même titre que l’architecture ou la mosaïque.

La tête du Louvre devait être peinte, comme la plupart des portraits des membres de la dynastie impériale. Il ne reste aucune trace de couleur, mais on peut imaginer que les cheveux d’Agrippine étaient blonds, peut-être avec des reflets roux. Les chevelures dorées étaient à la mode. Et même si Agrippine avait été brune, elle aurait pu se décolorer les cheveux au moyen de produits un peu agressifs, à base de graisse animale et de cendre.

Certaines boucles pouvaient être des postiches réalisés à partir de cheveux prélevés sur des prisonniers blonds, comme ceux que le père d’Agrippine, Germanicus, avait capturés au-delà du Rhin.

La mort de Germanicus, tableau de Nicolas Poussin, 1627. Wikipédia

Fille de héros et sœur d’empereur

Agrippine est née en 15 apr. J.-C. dans la ville qui, plus tard, allait devenir Cologne. Elle passe en Germanie les premiers mois de son existence, tandis que son père, neveu de l’empereur Tibère, commande les légions qui combattent les Germains rebelles à la domination de Rome.

Elle a 18 mois lorsque son père est rappelé à Rome par Tibère. Il y célèbre un somptueux triomphe, défilant dans les rues de la capitale impériale, debout sur un char, où il a installé ses enfants. Ce fut la première apparition officielle de la petite Agrippine, encore bébé. À ses côtés se tenait son grand frère, le futur empereur Caligula.

Sesterce de Caligula frappé en 37 ou 38 apr. J.-C. Buste de Caligula. Au revers, les trois sœurs de l’empereur. Agrippine est la première à gauche. source

Quand Caligula devient empereur à la mort de Tibère, en 37, il rend hommage à ses trois sœurs qu’il fait figurer sur des monnaies, dans des poses de déesses. C’est sans doute à cette époque que furent réalisés les premiers portraits officiels d’Agrippine. Et peut-être cette tête du Louvre ?

On peut imaginer son regard intense sous des paupières noircies à la cendre, selon la mode du moment. Le reste du visage devait être clair et brillant comme la neige. À l’instar des autres aristocrates romaines, Agrippine se faisait appliquer un fond de teint à base de craie ou de blanc de céruse. Pour faire ressortir encore sa pâleur, ses maquilleuses teintaient de rouge ses petites lèvres charnues ainsi que le sommet de ses pommettes. Le visage d’Agrippine devait avoir l’aspect théâtral d’un masque blanc, rouge et noir.

Monnaie d’or figurant à l’avers l’empereur Claude et au revers l’Augusta Agrippine. 50 apr. J.-C. Cng coins

L’épouse de son oncle

En 48, Agrippine a 35 ans. Elle est veuve de deux époux successifs et mère d’un seul enfant : le futur Néron. Elle rêve de le pousser sur le trône impérial afin de régner à travers lui. Ce sera l’ambition de toute sa vie. Dans un premier temps, elle persuade l’empereur Claude, qui a succédé à Caligula, de l’épouser. Mais cette union est considérée comme incestueuse par les Romains, car Claude est l’oncle d’Agrippine. Qu’à cela ne tienne ! L’empereur profite de sa position dominante pour faire voter par le Sénat un décret autorisant désormais le mariage entre une nièce et son oncle paternel. Un décret sur mesure.

Deuxième acte : Agrippine devenue impératrice pousse Claude à adopter Néron comme son fils et à le déclarer, par la même occasion, son héritier.

Troisième et dernier acte : en 54 apr. J.-C., Agrippine élimine son oncle-époux, peut-être en lui faisant servir un plat de champignons empoisonnés. Néron, 17 ans, est aussitôt proclamé empereur.

La femme qui voulait régner comme un homme

Tout s’est passé comme prévu. Agrippine règne sur l’Empire, tandis que Néron ne s’intéresse qu’aux courses de chars et à la poésie. Jamais une Romaine n’avait exercé un tel pouvoir, comme le souligne l’historienne Virginie Girod.

Ce n’est qu’après la mort de l’empereur Auguste, en 14 apr. J.-C., que son épouse Livie avait été nommée Augusta, le titre latin que l’on peut traduire par impératrice. Mais Livie, très respectée, avait surtout bénéficié d’une autorité morale.

Agrippine, elle, entend régner comme un homme. Pour y parvenir, il lui faut souvent ruser :la présence de femmes étant interdite au Sénat, elle fait convoquer les sénateurs au palais afin de suivre leurs débats, cachée derrière une tenture.

Mais l’instrument de son pouvoir va finalement se retourner contre elle. À 18 ans, Néron décide de ne plus se laisser manipuler par sa mère, si écrasante et possessive. Il la chasse du palais. Au même moment, le buste de l’Augusta disparaît des monnaies.

Néron couronné par sa mère Agrippine. Sculpture découverte à Aphrodisias, Turquie.

Telle mère, tel fils

Selon l’historien latin Tacite, Agrippine aurait tout tenté pour ramener à elle son fils chéri : elle aurait même essayé de le séduire. Une pure calomnie. Tacite force le trait, même si Agrippine et son fils n’étaient évidemment pas des anges.

Dans un véritable morceau de bravoure de ses Annales _(XIV, 5-8), l’auteur nous raconte, de manière très romanesque et théâtrale, la mort d’Agrippine, assassinée par son fils.

Néron feint d’abord de se réconcilier avec sa mère pour dissiper ses craintes ; il l’invite dans sa maison de la baie de Naples, au bord de la mer. Après un banquet censé sceller leurs retrouvailles, il offre à Agrippine un magnifique navire. Elle s’embarque, au milieu de la nuit, pour rentrer chez elle. Mais le bateau a été saboté. Il fait naufrage. Agrippine, blessée, parvient à rentrer chez elle à la nage, malgré le poids de ses habits de fête et l’eau plutôt froide en ce mois de mars 59. Informé de l’échec de son plan, Néron envoie alors des hommes achever sa mère. Au premier qui se rue sur elle, elle montre son ventre : qu’il la frappe là où elle a porté son fils !

« Les assassins environnent son lit, et le triérarque lui décharge le premier un coup de bâton sur la tête. Le centurion tirait son glaive pour lui donner la mort. “Frappe ici,” s’écria-t-elle en lui montrant son ventre, et elle expira percée de plusieurs coups. » (Tacite, Annales (XIV, 5-8))

C’est une bien terrible histoire d’ambition, de trône impérial et de meurtres en famille que nous raconte la charmante tête du Louvre à la chevelure si complexe.

Agrippine vue par Philippe Delaby dans la BD Murena. Dargaud

Dans Murena, série de bandes dessinées créée en 1997, la fascinante impératrice imaginée par Philippe Delaby est coiffée de cheveux noirs, sans doute pour mieux souligner encore la tragique noirceur de son destin.

The conversation : Scandale Volkswagen : la justice américaine va-t-elle bouleverser les comportements des managers ?

17 lundi Sep 2018

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  1. Franck Aggeri

    Professeur de management, PSL Research University, Mines ParisTech

  2. Jean-Michel Saussois

    Professeur émérite HDR en sociologie, ESCP Europe

Déclaration d’intérêts

Les auteurs ne travaillent pas, ne conseillent pas, ne possèdent pas de parts, ne reçoivent pas de fonds d’une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n’ont déclaré aucune autre affiliation que leur poste universitaire.

Partenaires

Mines ParisTech

ESCP Europe

 

VW a écopé de plus de 15 milliards de dollars de pénalités aux Etats-Unis. KDN759 / Shutterstock

Lorsque, dans une salle de cours, le professeur de gestion évoque l’existence d’un conflit latent entre normes managériales et normes juridiques, aussitôt des doigts se lèvent pour demander « concrètement » ce que cela peut bien vouloir dire. Bertolt Brecht disait en son temps que la « vérité est concrète » ; cette approche de la vérité nous semble pertinente pour les sciences de gestion qui, sinon, courent le risque de se perdre dans les délices de la glose ou de la modélisation hors sol.

La méthode dite des cas semble une voie possible pour traquer cette vérité concrète en évitant toutefois deux écueils ; d’abord ne pas être trop près, pour éviter l’immersion totale et la noyade dans les détails, mais aussi ne pas être trop loin pour éviter une description sans relief. C’est ce que nous avons tenté de faire dans un article de la Revue Française de Gestion paru dans un numéro spécial intitulé « le management face au judiciaire, les défis de l’internormativité ». Dans cet article, nous nous sommes efforcés de traquer la vérité autour de ce qu’il est maintenant convenu d’appeler le dieselgate en nous intéressant en particulier aux conflits entre les normes juridiques produites par la puissance publique et les normes managériales produites par les entreprises.

Nous avions à notre disposition une ressource documentaire importante (essentiellement d’origine américaine) qui nous a permis de reconstituer le fil des évènements pour finalement poser l’énigme suivante : comment une entreprise mondialement reconnue comme Volkswagen a-t-elle pu enfreindre les normes juridiques américaines en matière de pollution atmosphérique malgré les risques insensés pour la notoriété de ses marques ?

Culture de l’arrogance ?

Cette posture à la Sherlock Holmes nous a permis de relever des indices qui nous ont ensuite conduits vers des pistes d’explications. Nous en avons relevé trois : tout d’abord, la piste « culture d’entreprise » de VW, une culture de l’arrogance enracinée profondément dans l’histoire de la firme depuis les années 30. Dans le jeu autour des règles, l’arbitre pour VW devient alors un pantin symbolique ; les normes juridiques sont d’autant plus acceptées que le joueur sait qu’il ne les respectera pas. La culture de l’arrogance peut se définir comme la capacité d’une organisation à produire son propre jugement et ses propres règles. Tout cela indépendamment du jugement des autres. Les régulateurs, aussi bien américains qu’européens, n’ont pas été pris au sérieux. La place du mensonge dans la culture américaine a aussi, peut-être, été sous-évaluée.

La deuxième piste est la prééminence des normes managériales de la firme VW sur les normes juridiques américaines ; les équipes de recherche et développement (R&D) de VW savaient que les exigences environnementales en matière de pollution atmosphérique étaient beaucoup plus strictes aux États-Unis qu’en Europe. Y répondre pour les voitures diesel, qui ne représentaient qu’une faible part sur le marché américain, aurait abouti à un surcoût insupportable pour les clients ; en conséquence, ne pas tenir compte des normes juridiques devient un problème technique qui appelle une solution technique. Le logiciel truqueur sera cette solution.

Normalisation de la déviance ?

Enfin, une troisième piste, complémentaire de la seconde, nous conduit vers la normalisation de la déviance. Ne pas respecter les normes (ici environnementales) ne relève pas d’un problème moral. Parmi la communauté des spécialistes de la dépollution, la règle est en réalité de transgresser les règles et non de les respecter. Dès lors, la solution du logiciel truqueur n’est pas vécue par les ingénieurs de VW comme un franchissement de ligne jaune,mais comme une réponse technique adaptée qui bénéficie de l’aval de leur direction qui les protège.

Ces trois pistes permettent alors d’organiser une discussion autour de la puissance des grandes entreprises à l’épreuve de la judiciaire. Une discussion qui dépasse évidemment le seul cas de VW. Les grandes entreprises seraient-elles au-dessus des lois ? L’autonomisation du pouvoir des grandes entreprises est-elle aussi inéluctable que cela ? Les États sont-ils vaincus d’avance, impuissants face à des grandes organisations privées capables de mobiliser des ressources et des compétences qu’eux n’ont pas ? Le système juridique américain serait-il aujourd’hui le seul système qui fournirait une réponse convaincante pour réguler les acteurs économiques afin d’aboutir à une concurrence libre et non faussée ? Comment les États peuvent-ils reprendre la main ? Comment rendre alors les procédures judiciaires performantes ? Faut-il copier le système judiciaire américain, quitte à faire une copie en trompe-l’œil ? Le pouvoir citoyen est-il à la hauteur des enjeux face à des lobbyistes qui relaient les intérêts de leurs clients que sont justement les grandes entreprises ?

L’alliance des ONG et des universités : le nouveau contre-pouvoir

Un des résultats inattendus de la recherche est de montrer la formation d’une nouvelle alliance entre les ONG et les universités. Objectif : mobiliser le savoir au service de la collectivité. Sans cette alliance, rien ne se serait passé. Le dieselgate n’aurait en effet jamais vu le jour si une ONG et un laboratoire universitaire américain ne s’étaient pas associés pour mesurer les émissions en situation réelle, et non pendant les bancs d’essai. La même observation peut aussi être faite pour l’Europe. Il y a là une esquisse de formation d’une communauté de savoirs qui peut devenir un contre-pouvoir redoutable. À condition, bien sûr, que des contre-enquêtes puissent être menées efficacement et que des alliances puissent se nouer.

Le cas VW permet également de souligner l’importance de dispositifs d’investigation judiciaires, qui associent ici l’agence de protection de l’environnement américaine (l’EPA), le FBI et le Congrès américain. Cette association a permis, en un temps très court, de démontrer la fraude de VW. De tels dispositifs n’ont pas d’équivalent en Europe où le déséquilibre des forces entre les juges et les multinationales est trop grand pour établir une responsabilité civile et pénale.

Boîte de Pandore

Le dieselgate s’est traduit pour VW par des pénalités financières considérables (plus de 15 milliards de dollars aux États-Unis), bien que vite absorbées par VW dont les ventes d’automobiles n’ont jamais été aussi hautes qu’en cette année 2017. Certes, la réputation de VW a été sérieusement ébranlée mais les clients n’ont pas fui la marque pour autant. Tout ça pour ça ? S’en tenir à la capacité de résilience de VW, c’est oublier les effets que le dieselgate a eu et aura sur le secteur automobile et le monde industriel en général.

Ce scandale marque déjà la fin du diesel, jadis présenté comme la « technologie propre » d’avenir. Les ventes s’effondrent partout dans le monde. Tous les acteurs ont entériné la sortie progressive du diesel sous l’effet de réglementations renforcées et de restrictions de circulation. Tous les constructeurs sont donc impactés par cette affaire, notamment ceux qui, à l’instar de Renault, PSA ou Mercedes, avaient beaucoup misé sur cette technologie. Enfin, le dieselgate marque une défiance vis-à-vis du régulateur et révèle des connivences qui ont pu être établies avec les industriels en matière d’homologation.

À cet égard, les diverses commissions d’enquête mises en place en Europe, et en France en particulier, associant différentes parties prenantes sous la vigilance des médias, sont le signe d’une tentative de reprise en main par le politique et la société civile de dossiers qui étaient l’affaire exclusive des experts. Mais en ouvrant cette boîte de Pandore, sait-on ce qu’on y découvrira…

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