• Actualités régionales
    • Communes limitrophes
    • Régionales
  • Adhésion
  • André Lhote
  • Au-delà du 14 juillet, des interrogations tenaces sur l’usage des armées
  • Auteurs morts en 17, (déjà…)
  • BD « Sciences en bulles » : À la recherche des exoplanètes
  • Bonnes feuilles : Le château d’If, symbole de l’évasion littéraire
  • Comment la lecture enrichit l’éducation des enfants
  • Corruption, contrebande : le drame de Beyrouth et la question de la sécurité dans les zones portuaires
  • Des crises économiques à la crise de sens, le besoin d’une prospérité partagée
  • Evènements
  • Lecture : comment choisir un album qui peut vraiment plaire aux enfants
  • L’économie fantôme de l’opéra
  • L’Europe s’en sortirait-elle mieux sans l’Allemagne ?
  • Maladie de Lyme : attention au sur-diagnostic !
  • Mirmande
    • Pages d’histoire
    • AVAP et PLU
    • Fonds de dotation et patrimoine
  • NutriScore : quand l’étiquetage des aliments devient prescriptif
  • Penser l’après : Le respect, vertu cardinale du monde post-crise ?
  • Podcast : le repos, une invention humaine ?
  • Prévoir les changements climatiques à 10 ans, le nouveau défi des climatologues
  • Qui sommes-nous?
  • Réforme de la taxe d’habitation… et si la compensation financière n’était pas le seul enjeu ?
  • Revues de presse et Chroniques
  • S’INSCRIRE AU BLOGUE
  • Scène de crime : quand les insectes mènent l’enquête
  • The conversation – Changement climatique : entre adaptation et atténuation, il ne faut pas choisir
  • Une traduction citoyenne pour (enfin) lire le dernier rapport du GIEC sur le climat

Mirmande PatrimoineS Blogue

~ La protection des patrimoines de Mirmande.com site

Mirmande PatrimoineS Blogue

Archives Journalières: 10/04/2020

Matériel médical : les effets secondaires de la guerre commerciale sino-américaine

10 vendredi Avr 2020

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

≈ Poster un commentaire

The Conversation

 

  1. Grégory Vanel

    Professeur Assistant, Grenoble École de Management (GEM)

Grenoble École de Management (GEM)

 

CC BY ND
L’instabilité des relations commerciales sino-américaines pèse de plus en plus sur les chaînes d’approvisionnement en matériel médical. Brendan Smialowski / AFP
 

La nouvelle est tombée le 2 avril dernier. Des masques commandés par des collectivités locales françaises à des entreprises chinoises ont été « rachetés sur le tarmac » par des importateurs américains avant leur livraison en France, en cash et à des prix parfois deux fois supérieurs.

De telles pratiques soulignent toutes les difficultés à garantir des approvisionnements internationaux en matériel médical d’urgence en période de pandémie, en particulier quand le pays le plus riche et le plus affecté par celle-ci en manque cruellement. « À la guerre comme à la guerre ! » pourrait-on dire.

Sauf que derrière ces comportements opportunistes se cache bien plus que le changement de doctrine des autorités américaines en matière de fourniture de masques ou de gestion de la hausse exponentielle du nombre de cas et de décès aux États-Unis.

Il est en effet une autre guerre, commerciale celle-là, qui a profondément exacerbé les tensions actuelles sur les approvisionnements en matériel médical d’urgence. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, la trêve annoncée en décembre dernier entre la Chine et les États-Unis n’y changera rien.

La Chine, un fournisseur incontournable

Au déclenchement de la guerre commerciale, les États-Unis étaient déjà relativement dépendants de leurs importations en matériel médical, notamment, en provenance de Chine (le montant total tous pays confondus était de 22 milliards de dollars en 2019).

L’avion New England Patriots livre un stock de masques N95 en provenance de Shenzhen en Chine à l’aéroport Logan International Airport de Boston le 2 avril dernier. Maddie Meyer/AFP

La structure des importations américaines de matériel médical laissait apparaître en effet une situation déjà préoccupante pour la sécurité sanitaire en cas de rupture d’approvisionnement. Par exemple, la part des importations américaines en provenance de Chine en équipement de protection individuelle était de 72 %, celle des importations de lunettes de protection était de 55 % et celle de couvre-chefs médicaux jetables de 52 %.

De plus, même au niveau du matériel médical de haute technologie, cette part était relativement élevée : 25 % des importations de systèmes d’échographie, 23 % des dispositifs d’imagerie médicale (tomographie assistée par ordinateur) et 12 % des concentrateurs d’oxygène provenaient de Chine.

Inévitablement, le volume des importations en jeu était non négligeable et laissait apparaître des déficits potentiellement importants dans la balance commerciale américaine. Ces déficits ont été combattus tous azimuts et sans distinction par des hausses de tarifs douaniers visant à limiter les importations américaines, comme pour tous les autres types de déficits commerciaux.

Une désorganisation des approvisionnements

Selon le président des États-Unis, Donald Trump, la guerre commerciale sino-américaine déclenchée en 2018 était censée améliorer la situation économique américaine en réduisant le déficit commercial bilatéral abyssal. Sur la question des approvisionnements américains en matériel médical comme sur d’autres, elle a pourtant eu l’effet inverse.


À lire aussi : États-Unis–Chine, la longue marche vers un Yalta commercial ?


Les hausses de tarif successives, via l’activation de la section 301 de la loi commerciale américaine de 1974, ont ainsi produit une situation relativement contrastée selon le type de matériel médical.

Pour certains d’entre eux, le tarif est toujours nul aujourd’hui : les masques respiratoires, sondes et autres respirateurs artificiels rentrent toujours aux États-Unis sans aucun droit de douane.

Mais pour de nombreux autres cas, le tarif douanier a fortement augmenté : 15 % pour les équipements de protection personnelle, les lunettes de protection, et le matériel de protection médicale (gants, etc.).

Une hausse jusqu’à 25 % a été appliquée pour le matériel plus technologique comme les thermomètres, le gel hydroalcoolique, les couvre-chefs médicaux jetables et surtout pour le matériel de haute technologie comme les systèmes d’échographie, les concentrateurs d’oxygène, les équipements à rayons X ou encore les équipements d’imagerie médicale de tomographie assistée par ordinateur.

Dans sa course au leadership technologique contre la Chine, l’administration américaine n’a pas fait dans le détail.

Le résultat ne s’est pas fait attendre. Au niveau global, les importations américaines de matériel médical en provenance de Chine ont chuté de 16 %, quand, dans le même temps, celles en provenance d’autres régions du monde ont augmenté de 23 %.

En cause, la hausse des besoins en matériel du fait du vieillissement de la population américaine, entre autres. On a donc assisté à des détournements de flux sans réelle chute des importations. Une hausse des importations en provenance de Chine n’a d’ailleurs pas pu être empêchée en ce qui concerne les concentrateurs d’oxygène (+53 %) et les équipements à rayons X (+45 %) par exemple.

Les importateurs américains ont donc usé de toute leur intelligence et de tout leur pouvoir pour réorganiser leurs approvisionnements, ce qui a déjà fragilisé les chaînes en question et augmenté le degré de concurrence avec les autres importateurs du même type de matériel.

Des voix se sont bien sûr élevées, y compris au sein même de l’administration américaine, pour critiquer cette politique pour le moins dangereuse pour la sécurité sanitaire aux États-Unis. On estime en effet qu’il aurait fallu au moins deux années pour réorganiser complètement les filières d’approvisionnement. Nous y sommes…

Peut-on vraiment parler de trêve commerciale ?

La trêve commerciale annoncée en décembre dernier n’y changera pas grand-chose. La phase 1 de l’accord entre la Chine et les États-Unis, signée le 15 janvier 2020, maintient en effet de nombreux tarifs sur les 360 milliards de dollars d’importations américaines concernées. Elle permet toutefois la baisse des tarifs sur 26 % de leurs importations totales de matériel médical tous pays confondus (y compris du matériel non critique pour la lutte contre la pandémie).

Le président des États-Unis, Donald Trump, et le vice-premier ministre chinois Liu He se serrent la main suite à la signature d’un accord commercial, le 15 janvier 2020. Saul Loeb/AFP

Mais, au total 1,1 milliard de dollars d’importations subissent encore un tarif à 25 %, et seulement 3,3 milliards de dollars d’importations américaines en matériel médical ont vu leur tarif baisser de 15 % à 7,5 %, notamment dans les équipements de protection personnelle.

La crise du coronavirus est actuellement à l’origine d’une explosion de la demande mondiale pour du matériel médical. En parallèle, certains pays producteurs de matériel, en particulier au sein de l’Union européenne, restreignent à leur tour leurs exportations.

Ursula von der Leyen

✔@vonderleyen

European response to the #coronavirus: Protecting people‘s health and ensuring that goods flow in the internal market

Embedded video

4,183

6:07 PM – Mar 15, 2020
Twitter Ads info and privacy
2,242 people are talking about this

Des pénuries et des hausses drastiques de prix sont à prévoir, car les volumes demandés par les États-Unis sont sans commune mesure avec ceux demandés par les autres pays. Cela explique d’ailleurs au premier chef le comportement des acheteurs américains face à leurs concurrents étrangers : leurs paiements cash sécurisent la trésorerie des exportateurs chinois, eux-mêmes fortement désorganisés et fragilisés par le confinement.

Les autorités américaines ont même relâché certaines limites aux importations en provenance de Chine, très discrètement il est vrai, le 10 mars et le 12 mars derniers. Mais les États fédérés se vivent eux-mêmes en concurrence pour l’achat de ces matériels, et les tensions sont encore plus exacerbées à mesure que la pandémie se développe aux États-Unis et que le président refuse d’impliquer davantage le gouvernement fédéral, par idéologie.

Le libre-échange et surtout sa sortie brutale se paient aussi à coup de ruptures dans les chaînes d’approvisionnement, de concurrence entre les clients les plus riches pour l’accès aux produits, et de restrictions aux exportations.

Que se passera-t-il dans l’après-confinement ? Faut-il craindre une rupture des approvisionnements des médicaments courants, due à une potentielle augmentation des stocks des pays riches et à une très probable relocalisation de l’industrie pharmaceutique ?

Un véritable changement de paradigme ne pourra faire l’économie d’un changement profond des règles de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Il ne pourra pas se faire non plus sans une coordination internationale encore plus étroite entre les États. Mais la guerre commerciale et la dislocation de l’Union européenne n’arrangent rien sur ce point non plus.

Au temps du coronavirus, ces enfants confinés en ville : dans quelles conditions ?

10 vendredi Avr 2020

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

≈ Poster un commentaire

 

The Conversation

  1. Fiona Ottaviani

    Enseignante-chercheuse en économie – Grenoble Ecole de Management – Univ Grenoble Alpes ComUE – Chaire Paix économique, Mindfulness, Bien-être au travail – Chercheuse associée au CREG – Université Grenoble Alpes, Grenoble École de Management (GEM)

Grenoble École de Management (GEM)

 

CC BY ND
A Grenoble, en 2018, 42% des foyers avec enfants n’ont accès à aucun jardin privé ou collectif (enquête IBEST).

Nous savons l’importance pour apprendre de disposer d’un espace à soi, dans un environnement calme. Nous savons aussi l’importance pour les enfants de pouvoir faire des pauses et se dépenser, jouer ou même rêvasser. Des enjeux très liés aux conditions de logement des familles, et qui en dépendent totalement en ces temps de confinement. Or, la situation matérielle de beaucoup de foyers est aujourd’hui critique.

Alors que les élèves sont censés continuer leur scolarité à distance, Jean‑Michel Blanquer a estimé que les enseignant·e·s avaient perdu contact avec 5 % à 8 % des élèves. Si les instructions ont bien été reçues par les autres foyers, disposant d’un minimum de connexion numérique, cela ne signifie par non plus que leurs conditions de vie se prêtent à une paisible poursuite de leurs études.


À lire aussi : Inégalités scolaires : des risques du confinement sur les plus vulnérables


Une enquête menée dans la métropole grenobloise (permettant de nourrir la construction d’indicateurs de bien-être soutenable territorialisés) nous permet de cerner plus finement la situation dans laquelle se trouvent un certain nombre d’enfants aujourd’hui. Si ses résultats ne peuvent pas être extrapolés à d’autres territoires, ils font ressortir des questions qui se posent partout ailleurs, de manière plus ou moins marquée.

Un tiers de familles en maison

Revenons d’abord en quelques mots sur le cadre de cette étude, impliquant chercheurs, professionnels des politiques publiques, élus, citoyens et militants associatifs. Les résultats présentés s’appuient sur une enquête comprenant environ 70 questions sur les conditions de vie, et diffusée auprès d’un échantillon représentatif (en termes d’âge, de sexe, de professions) de la population de la métropole grenobloise.

Dans l’enquête 2018 (enquête 2018 IBEST), les foyers avec enfants représentent 50 % de l’échantillon de 1000 personnes interrogées. 26 % des foyers comprenant des enfants sont locataires, 68 % sont propriétaires et 6 % sont dans une autre situation. La part des foyers avec enfants en secteur social et ceux propriétaires est légèrement plus élevée par rapport au niveau métropolitain.

Author provided

Un tiers des foyers avec enfants habitent dans une maison individuelle. Six foyers avec enfants sur 10 vivent en appartement, dans un immeuble collectif, avec moins de possibilité donc de se dépenser et de répondre à leur besoin de nature, deux besoins qui paraissent essentiels au vu des études existantes sur le bien-être.

À Grenoble, en 2018, 42 % des foyers avec enfants n’ont accès à aucun jardin privé ou collectif. 18 % avait accès à un jardin collectif et 40 % à un jardin privatif. Les limitations sur les jardins collectifs ont pour incidence que l’on peut considérer que 60 % des enfants quel que soit leur âge n’ont pas aujourd’hui d’accès facile à un espace de nature.

Author provided

Ne pas avoir de jardin concerne particulièrement les foyers comprenant des enfants jeunes de moins 14 ans. En effet, 47 % de ces foyers n’ont pas du tout accès à un jardin, 20 % ont accès à un jardin collectif et 33 % à un jardin privé.

Les foyers ayant de jeunes enfants vont plus souvent au parc public que les autres. En effet, 57 % des personnes n’ayant pas de jardins privés et ayant des enfants de moins de 14 ans déclarent se rendre fréquemment au jardin public.

Ce taux n’est que de 19 % pour les personnes n’ayant pas d’enfants jeunes et jouissant d’un jardin. 8 % des personnes ayant des enfants de moins de 14 ans n’ayant pas de jardin (collectif ou privé) ont par ailleurs un accès difficile aux espaces verts dans la métropole, même en temps normaux.

Logements sur-occupés

Si la taille du foyer a déjà une incidence sur la gestion de l’espace dans le lieu de vie, elle est aussi associée à un moindre accès à un jardin. En effet, 48 % des foyers comprenant trois enfants ou plus n’ont pas accès à un jardin privé ou collectif. L’accès est aussi compromis pour 39 % des foyers comptant un à deux enfants. La situation est encore plus tendue pour les familles monoparentales puisque 55 % de ces familles n’ont pas accès à un jardin.

Author provided

Témoignant de la stratégie de substitution des ménages, les ménages n’ayant pas accès à un jardin privé se rendent plus fréquemment aux parcs que les autres et ont par conséquent été plus touchés du point de vue de leur bien-être du fait de la fermeture de ceux-ci. Ainsi, 42 % des foyers ayant des enfants de moins de 14 ans disent aller principalement au parc afin d’accompagner leur enfant y jouer.

Author provided

On peut toutefois supposer que certains des foyers avec enfants ne sont pas restés dans leur logement principal et qu’ils ont pu par exemple aller chez des grands-parents, des amis dotés d’un jardin. Toutefois, nous posons l’hypothèse qu’une grande partie d’entre eux ou elles n’aient pas bénéficié d’une telle offre (notamment les moins aisés), soit parce que les proches connaissent des conditions de logement analogues, soit parce que leur inscription sociale dans des réseaux amicaux ou familiaux d’entraide est fragile.

Sur ce deuxième volet explicatif, soulignons que 6 % des foyers avec enfants déclarent qu’il ne pourrait pas compter sur quelqu’un en cas de difficultés.

Ainsi, beaucoup de foyers sont obligés de « faire avec » les conditions de vie telle qu’elles se présentent aujourd’hui. Et pour 19 % des foyers avec enfants, ils faisaient déjà avec puisqu’il n’avait pas eu le choix de s’installer là où ils habitent.

15 % des foyers avec enfants étaient déjà confrontés à une situation de sur-occupation du logement. Or, un quart des foyers avec enfants n’ayant pas accès à un jardin sont en situation de sur-occupation du logement. Dans ces conditions, si beaucoup voient dans la crise l’opportunité pour construire une société plus égalitaire, la polarisation des hiérarchies sociales est déjà en marche dans le temps long du confinement.

Enjeux publics

Par ailleurs, si ces indicateurs permettent déjà d’apporter un éclairage sur les inégalités de situation qui sont accentuées par la situation de confinement actuelle, ils sous-estiment néanmoins les situations de précarité dans lesquels vivent les personnes et les enfants en France et à Grenoble.

En effet, les données présentées étant issues d’une enquête, il demeure des « invisibles » de la statistique, notamment les foyers les plus précaires vivant en squat, dans un bidonville, en hôtel ou à la rue.

Environ 4 millions de personnes seraient aujourd’hui en situation de mal-logement en France d’après le dernier rapport de la fondation Abbé Pierre. Parmi ces personnes mal-logées, si on trouve une grande part de personnes seules, la part des enfants concernés tend à augmenter en Europe. Ils étaient 600000 dans ce cas, selon le 15ᵉ rapport sur l’état du mal-logement de la fondation Abbé Pierre, publié en 2010.


À lire aussi : Podcast : Des pistes pour réduire les inégalités


10 % des ménages avec enfants sont dans une situation de sur-occupation du logement d’après le rapport sorti en 2019. Ce sont aussi entre 1,5 million (seuil de 50 % du niveau de vie médian) et 2,7 millions (seuil à 60 %) de jeunes de moins de 18 ans qui vivent dans une famille pauvre.

La situation tragique dans laquelle beaucoup de personnes et d’enfants se trouvent dans la situation de confinement rappelle une nouvelle fois la nécessité d’une réponse politique et collective d’ampleur sur ce sujet.

avril 2020
L M M J V S D
 12345
6789101112
13141516171819
20212223242526
27282930  
« Mar   Mai »

Stats du Site

  • 100 674 hits

Liens

  • Associations-patrimoines
  • La Fédération d'environnement Durable
  • Moelle Osseuse
  • Visite de Mirmande
avril 2020
L M M J V S D
 12345
6789101112
13141516171819
20212223242526
27282930  
« Mar   Mai »

Commentaires récents

Germain Ivanoff-Trin… dans La Russie, une nation en …
protodiacre dans La Russie, une nation en …
Germain Ivanoff-Trin… dans Trente ans après l’effondremen…
Le variant Delta pro… dans Avoir été malade de la Covid-1…
Le variant Delta pro… dans Avoir été malade de la Covid-1…

Propulsé par WordPress.com.

  • Suivre Abonné
    • Mirmande PatrimoineS Blogue
    • Rejoignez 169 autres abonnés
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • Mirmande PatrimoineS Blogue
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné
    • S’inscrire
    • Connexion
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre
 

Chargement des commentaires…