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Archives Journalières: 19/04/2020

Zone euro : l’opposition aux eurobonds apparaît de moins en moins tenable

19 dimanche Avr 2020

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The Conversation

  1. Etienne Farvaque

    Professeur d’Économie, Université de Lille

  2. Cristina Badarau

    Maître de conférences HDR, LAREFI, Université de Bordeaux

  3. Florence Huart

    Associate professor of Economics, Université de Lille

  4. Gregory Levieuge

    Chercheur associé, Université d’Orléans

Région Nouvelle-Aquitaine

Université de Bordeaux

Université de Lille

Université Lille Nord-Europe (ULNE)

 

CC BY ND
Fin mars, neuf dirigeants européens ont appelé à lancer ces obligations sous le nom de « coronabonds ». EnzoVi / Shutterstock
 

Chaque mois de confinement devrait coûter au moins plusieurs points de PIB aux pays européens (3 points pour la France, selon l’Insee), avec évidemment des effets différents selon les secteurs économiques (la restauration, le tourisme, mais aussi l’immobilier étant parmi les plus touchés, par exemple).

Si certains des achats qui n’ont pas été effectués pouvaient être reportés, ce qui permettrait de favoriser la sortie de crise, ce ne sera pas le cas de tous, et personne n’est en mesure de savoir comment réagiront les consommateurs européens. De même, on peut craindre qu’un certain nombre d’entreprises n’aient pas la trésorerie ou les relais financiers nécessaires pour reprendre leur activité de façon normale après le confinement, avec les effets que cela aura en termes de pertes d’emplois.

Face à ce choc inédit, chaque pays a mis en œuvre des mesures spécifiques pour soutenir les revenus de ses citoyens et l’activité de ses entreprises, de façon dispersée, et avec des combinaisons très variables d’un pays à l’autre. La pandémie aura donc des conséquences sur les finances publiques des États européens.

Les eurobonds reviennent dans le débat

À l’échelle européenne, une lecture littérale du cadre légal de surveillance des déficits et dettes, qui reviendrait à sanctionner les États dont les finances publiques se sont fortement dégradées, n’est donc plus adaptée. De surcroît, ces États pourraient être sanctionnés par les marchés, avec un risque important de fragmentation de la zone euro.

Il pourrait être décidé d’exclure de la surveillance les effets des mesures prises en 2020, comme le préconisent certains économistes européens, mais quid alors de 2021 ? En effet, les reports et allègements de taxes, et de charges, n’auront d’impact sur les finances publiques qu’avec un certain délai.

En conséquence, la nécessité d’instruments de solidarité européenne automatiques s’impose. Parmi ces mécanismes, la création de titres de dette européens collectifs est aujourd’hui fortement débattue. La question d’une mise en place d’eurobonds, ou euros-obligations, revient notamment sur la table. Fin mars, neuf dirigeants européens, dont le Français Emmanuel Macron et l’Italien Giuseppe Conte, ont notamment appelé à lancer ces titres de dette européenne sous le nom de « coronabonds ».

coronavirus : neuf dirigeants européens appellent à l’émission d’eurobonds (Euronews, 25 mars 2020).

Ce système d’emprunt en commun, contracté par l’ensemble des États membres plutôt que chacun de leur côté, avait déjà été imaginé par Jacques Delors en 1993, alors qu’il était président de la Commission européenne. Sa mise en place avait également été évoquée en 2010, lors de la crise de la zone euro, avant d’être abandonnée en raison de l’opposition de certains pays, Allemagne en tête.

Cet instrument de financement a l’avantage d’assurer un partage des risques financiers entre États membres de l’Union européenne (UE), par une mutualisation des risques de défaut de remboursement. L’intérêt des titres communs est, en effet, de partager la même prime de risque. L’ensemble des États se porte ensuite garant du remboursement.

Sur le plan institutionnel, le Mécanisme de stabilité européen (MSE), dispositif de gestion des crises financières, pourrait émettre des eurobonds pour couvrir les dépenses lorsqu’un pays fait face à un désastre, et ce sans devoir subir des hausses démesurées de taux d’intérêt, préjudiciables à tous.

Certes, certains États membres ont notoirement désapprouvé l’idée d’eurobonds il y a 10 ans, et aujourd’hui encore. On retrouve au premier rang d’entre eux les Pays-Bas, avec l’Autriche et la Finlande. En Allemagne, même si la chancelière Angela Merkel s’est déclarée opposée à cette piste fin mars, la classe politique allemande reste divisée sur le sujet.

Selon ces sceptiques, la solidarité européenne a déjà trouvé les moyens de s’exprimer à travers les mesures prises. La Commission européenne a en effet déjà proposé un programme d’assurance chômage temporaire, la Banque européenne d’investissement a l’intention de lancer un programme de prêt aux entreprises le nécessitant, et le MSE a annoncé l’ouverture de lignes de crédit, sous certaines conditions d’octroi.

Alessandra Loiacono@AlexiaGH20

La carte des litiges des #eurobonds
#Eurogroup

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4

11:16 PM – Apr 7, 2020
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Ils redoutent surtout que l’émission de titres communs entraîne une déresponsabilisation de certains États déjà fortement endettés, la fin de la discipline budgétaire européenne, et une prime de risque plus élevée sur leurs propres emprunts si elle est calculée sur la base du risque global.

Un premier pas vers les D-bonds ?

Cependant, il est probablement possible de trouver un compromis entre États membres. D’une part, on peut montrer que les conséquences économiques pour les États fiscalement vertueux ne sont pas nécessairement négatives. D’autre part, il convient de rappeler que ces titres n’induisent qu’une mutualisation très partielle des risques, et dans des circonstances bien définies. En outre, dans le cadre légal actuel, seul le MSE serait autorisé à émettre des eurobonds, pour financer uniquement des dépenses liées aux désastres.

Outre que le choc pandémique actuel renforce la nécessité de mutualiser les risques entre des pays qui partagent, plus qu’un budget et qu’une monnaie, des valeurs, un tel instrument pourrait préfigurer la mise en place d’obligations souveraines plus larges que l’on pourrait qualifier de D-bonds (D pour désastre et bonds pour obligations) qui financeraient les interventions publiques en cas de désastres : épidémies, mais aussi inondations, incendies, sécheresse, tremblements de terre, terrorisme, etc.

En effet, le changement climatique ne se traduit pas seulement par une élévation des températures, et donc du niveau des mers et des océans (ce qui, en soit, concerne quelques-uns des pays européens) mais implique également une instabilité climatique accrue, qui touchera chacun des pays membres, mais de façon probablement différente (inondations ici, sécheresse ou tempête là, etc.).

Conversation France

✔@FR_Conversation

Incendies en Australie : l’Europe n’est pas à l’abri de catastrophes similaires http://bit.ly/36y80zb 

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1:29 AM – Jan 8, 2020
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Les D-bonds permettraient de faire face, de façon solidaire, à ces chocs. Leur création n’est donc pas seulement un enjeu de solidarité immédiate, mais permettrait également de préparer l’avenir, de façon coopérative et collective.

Pour reprendre les termes de Jean‑Claude Juncker, ancien président de la Commission européenne, ces D-Bonds « ne sont pas une idée folle. Il n’y a aucun doute que cet instrument sera nécessaire ». Autant donc profiter de la crise actuelle pour le préparer et faire face à la prochaine crise…

Quelles leçons philosophiques tirer de la crise sanitaire ?

19 dimanche Avr 2020

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The Conversation

  1. Xavier Pavie

    Philosophe, Professeur à l’ESSEC, Directeur académique programme Grande Ecole à Singapour et Directeur du centre iMagination, ESSEC

ESSEC

 

CC BY ND
Lundi de Pâques à La Baule pendant le confinement. Sébastien Salom-Gomis / AFP
 

Quand le monde fait face à une réalité qui le dépasse, quand la vie des êtres humains est en jeu, les questions d’ordre philosophique refont surface. C’est « l’étonnement qui poussa comme aujourd’hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques », disait Aristote.

La période de peur, de panique et d’angoisse que nous traversons oblige à remettre la pensée au centre de notre quotidien. Et le questionnement qui en résulte est l’essence de la philosophie qui, depuis au moins 2500 ans, interroge le monde.

Nous sommes confrontés à l’expérience inédite de devoir bouleverser totalement, pour un temps indéterminé, des pratiques journalières jusque-là guidées par la perspective du productivisme et de l’efficacité. Du jour au lendemain, nous sommes contraints de réinventer un quotidien où il n’y a plus de moyen de produire, de participer au processus actif de la société.

Règles de vie

En confinement, nous pourrions relire des penseurs comme Thoreau, parti au XIXe siècle s’isoler dans les bois, sans aucun lien avec le monde des « actifs » ; ou encore Pétrarque qui rejoint au XIVe siècle l’ermitage du Vaucluse et décrit dans La vie solitaire, son expérience de s’isoler du monde pour méditer, philosopher, écrire de la poésie. Pétrarque oppose ainsi à la société productiviste une vie solaire et contemplative.

La différence avec la situation présente est que notre confinement, nous ne l’avons pas choisi, et que donc cela nous effraie. Cette crainte résonne d’autant plus fortement qu’elle pose des questions existentielles. Nous entendons en effet que certaines choses sont dites essentielles et d’autres non essentielles.


À lire aussi : Au temps du coronavirus, l’étonnante mélancolie du vide


Une majorité d’individus s’entendent dire que ce qui nourrit leur quotidien, ce pourquoi ils se lèvent le matin, l’endroit qu’ils fréquentent une grande partie de leur vie n’est finalement pas essentiel. Ce qui devient important est de se demander si l’on va avoir suffisamment à manger et demeurer en bonne santé.

Se rendre compte de la futilité de notre existence n’est pas sans amertume et c’est pourquoi nous avons pu observer des résistants aux premières heures du confinement, résistance qui a fait place à la panique, au chacun pour soi : stocker des aliments, des produits ménagers, partir se réfugier loin des villes…

Il est vrai que l’autonomie de nos comportements, dans le sens de la responsabilité envers les autres n’est pas facile à trouver parce qu’encore une fois, ce n’est pas dans nos habitudes. Dans notre vie quotidienne, nous suivons les réflexes d’un comportement acquis. Il faut donc changer les règles de notre vie de tous les jours, restaurer un rythme de vie. Il faut accepter qu’en confinement, notre vie ne peut être aussi plaisante qu’en temps ordinaire, qu’on ne peut pas faire ce que l’on veut mais ce que l’on peut.

Métro La Chapelle à Paris, 27 mars 2020. Joël Saget/AFP

Il y a une forme d’obligation à vivre en autonomie. Pour Kant, l’autonomie signifie définir seul ses propres règles de vie et de morale. Cela réclame de mettre à distance ses passions, ses peurs, ses sentiments, faire un calcul rationnel des intérêts collectifs en se disciplinant. Un travail sur soi qui est inédit et plutôt angoissant, puisque l’individu et ses intérêts priment souvent sur le reste.

Penser collectif, agir individuellement

Il est à noter que cette situation s’établit à la fois sur le plan individuel et collectif et l’on note en quoi il y a un fort partage social des émotions dans les communautés. Les réseaux sociaux deviennent ainsi le déversoir de nos peurs tout autant que de nos amusements. Dans la panique ambiante on partage et on rediffuse sans cesse, un flux d’informations continu, qui nous écrase et nous empêche de penser, de prendre du recul. Il n’y a plus de distance entre ce qui est en train de se passer et le moi en tant qu’individu.

Pour les philosophes il ne s’agit pas de paniquer, il s’agit de comprendre et réussir à se comporter en tant qu’individu dans la société. Et dans le cas actuel, il y a ce paradoxe entre le repli sur soi et la solidarité. D’un point de vue quotidien et conceptuel c’est très intéressant.


À lire aussi : Philosophie : le confinement selon Leibniz


On nous dit d’être solidaires mais cela ne fonctionne que si nous avons des comportements individuels, par exemple se laver les mains, se protéger, être confiné. Nous devons faire bloc ensemble comme le répètent les gouvernants, mais cela ne peut passer que par des comportements individuels. La philosophie de Kant peut encore une fois nous donner des pistes sur ce travail paradoxal, que cette crise nous force à effectuer sur nous-mêmes : nous devons nous isoler, nous replier sur nous-mêmes pour, justement, protéger l’autre.

Angoisse, isolement, ennui : en Chine, les effets secondaires du coronavirus (France 24).

En quelques jours, nous apprenons que chacun de nous est peut-être une bombe à retardement, puisque nous pouvons être porteurs de la maladie et la transmettre. Il y a un aspect sacrificiel, un don inconditionnel et gratuit de soi, au fait de rester à la maison sans aucun contact, sinon virtuel, avec autrui.


À lire aussi : Pourquoi a-t-on peur face à l’épidémie ?


Un « comment vivre » antique

Le but de la philosophie dans l’antiquité est de répondre au comment vivre. Nous sommes torturés par des passions telles que la quête du pouvoir, la recherche de l’argent, la peur, l’angoisse, la vieillesse, la maladie, la trahison, la mort. Comment vivre malgré tout cela ?

Trois écoles philosophiques y répondent : les stoïciens, les épicuriens et les cyniques. Ces écoles développent des « exercices spirituels » pour combattre ces maux, une pratique destinée à transformer, en soi-même ou chez les autres, la manière de vivre, de voir les choses.

Si les stoïciens sont les plus pertinents pour la crise actuelle, c’est parce qu’ils ont développé une philosophie de l’acceptation. La plus grande phrase d’Épictète : « il y a des choses qui dépendent de nous et il y a des choses qui n’en dépendent pas » est très éclairante. Ce qui ne dépend pas de moi est le contexte, ce virus devenu pandémique. Ce qui dépend de moi est la distanciation sociale, les règles d’hygiène, le respect de soi (prendre soin de soi) si l’on veut prendre soin des autres.

Les stoïciens ont quatre vertus cardinales que l’on peut mettre en perspective avec le contexte.

  • La première est la sagesse, c’est savoir accueillir ce qui se passe avec calme et sérénité. Ne pas chercher un coupable et ne pas céder à la panique.
  • La deuxième dimension est la justice, c’est savoir interagir avec les autres, éduquer, montrer l’exemple, respecter les consignes.
  • Le troisième axe est la modération. Il s’agit de ne pas céder à la panique de l’achat, contrôler ses impulsions, modérer ses plaisirs, ne pas chercher à partir, à acheter ce qui n’est pas nécessaire.
  • La quatrième dimension est le courage de prendre des décisions qui ne sont pas plaisantes, décider ce qui est bon pour le bien commun.

Travail sur soi

Nous n’avons pas vraiment appris des dernières épidémies (SARS, H1N1…) ni même adapté nos modes de vie en termes d’hygiène, équipement en masques, etc. Cette fois-ci peut être aurons-nous la destruction en vue de la création d’un monde plus responsable et solidaire.

Dès les premiers temps du confinement, il y a eu des réflexes de solidarité spontanés, des personnes font les courses pour leurs voisins âgés, affaiblis ou en situation de précarité. Que restera-t-il de tout cela à la sortie du confinement ? Tirerons-nous les leçons de ce mode de vie un peu forcé mais qui nous pousse à nous responsabiliser vis-à-vis des autres ?


À lire aussi : Ce que les manifestations publiques révèlent de notre rapport au monde en confinement


Indéniablement, ce que nous devons retenir au-delà de la crise est le travail sur soi. Il s’agit d’un autre apprentissage qui nous vient de Pascal qui disait que « le malheur des hommes est de ne pas savoir rester ou demeurer seul en repos dans sa chambre ». Pourquoi ? Parce qu’on a envie d’être en voyage, en déplacement professionnel, de fréquenter des amis, de se réunir pour dîner, de partir en vacances à droite à gauche.

Tout cela n’est-il pas finalement que superficialité ? N’est-il pas l’occasion d’apprendre à travailler sur soi et être capable de vivre en compagnie de soi-même ? N’est-ce pas l’occasion de réinstaurer un espace de pensées individuel et collectif qui semble nous manquer depuis quelques semaines ?

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