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Mirmande PatrimoineS Blogue

Archives Journalières: 01/01/2021

Deuxième article du premir Janvier 2021 ;Quelles mesures sanitaires les Français sont-ils prêts à accepter ?

01 vendredi Jan 2021

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

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  1. Thierry BlayacProfesseur d’Economie, Centre d’Economie de l’Environnement de Montpellier (CEE-M), Université de Montpellier
  2. Bruno VentelouChercheur CNRS-AMSE, économie, santé publique,, Aix-Marseille Université (AMU)
  3. Dimitri DuboisEconomie comportementale, Economie de l’environnement, Economie expérimentale, Université de Montpellier
  4. Marc WillingerProfesseur d’Economie, économie comportementale et expérimentale, Université de Montpellier
  5. Phu Nguyen-VanDirecteur de recherche CNRS en sciences économiques, Université de Strasbourg
  6. Sébastien DuchêneMaître de Conférences en Sciences Economiques, Université de Montpellier

Thierry Blayac a reçu des financements de l’ANR dans le cadre de l’AAP Flash COVID-19 (ANR-20-COVI-000) et de la Région Occitanie dans le cadre du programme Défis clés Urgence COVID-19.

Bruno Ventelou a reçu des financements de ANR-17-EURE-0020 et participe à l’ANR-20-COVI-000 confinobs. Aucun conflit d’intérêt n’y est associé.

Marc Willinger a reçu des financements de l’ANR dans le cadre de l’AAP Flash COVID-19 (ANR-20-COVI-000) et de la Région Occitanie dans le cadre du programme Défis clés Urgence COVID-19.

Phu Nguyen-Van a reçu des financements de l’ANR dans le cadre de l’AAP Flash COVID-19 (ANR-20-COVI-000) et de la Région Occitanie dans le cadre du programme Défis clés Urgence COVID-19.

Sébastien Duchêne a reçu des financements de l’ANR dans le cadre de l’AAP Flash COVID-19 (ANR-20-COVI-000) et de la Région Occitanie dans le cadre du programme Défis clés Urgence COVID-19.

Dimitri Dubois ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d’une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n’a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.

Université de Montpellier
Université de Strasbourg
Aix-Marseille Université

Université de Montpellier, Université de Strasbourg et Aix-Marseille Université fournissent des financements en tant que membres adhérents de The Conversation FR.

Voir les partenaires de The Conversation France

CC BY NDNous croyons à la libre circulation de l’information
une dose du vaccin Pfizer-BioNTech
Jacques Collineau, 75 ans, reçoit une dose du vaccin Pfizer-BioNTech dans la résidence Ephad de Debrou à Joué-les-Tours, le 28 décembre 2020. Guillaume SOUVANT / AFP

Fêtes de réveillon en petit comité ou annulées, familles dispersées et isolées, autoconfinement, confinements locaux, partiels ou généralisés, couvre-feu, restrictions de déplacement, fermeture des frontières, incertitudes quant à la réouverture de certains secteurs : la France, comme de nombreux autres pays du monde, a fait face à une série de restrictions pour tenter d’endiguer l’épidémie.

Si chaque type de mesures/restrictions a sa propre efficacité dans le contrôle de la dynamique épidémiologique, ces dernières doivent également être évaluées en fonction de leur acceptabilité par la population.

À l’heure où les décideurs se posent la question de ré-évaluer les mesures restrictives pour éviter un rebond de l’épidémie, les préférences des populations devraient compter dans la décision publique.

Et ce, en particulier après de longs mois d’efforts consentis, puis la mise en place de nouvelles mesures ces dernières semaines dans de nombreux pays européens.

Des attitudes distinctes

Notre équipe de chercheurs en économie comportementale a quantifié le degré de résistance ou d’acceptabilité d’une population face aux diverses stratégies de lutte contre l’épidémie de Covid-19. Nos résultats ont donné lieu à la publication d’un article dans la revue scientifique internationale The Lancet Public Health.

Les résultats de l’étude montrent que le port du masque, les limitations de transport et le suivi numérique sont relativement bien acceptés.

En revanche, les fermetures des restaurants et des lieux récréatifs, ainsi que les restrictions excessives des voyages d’agrément le sont beaucoup moins. Les analyses de sous-groupes de population (vulnérabilité clinique, tranches d’âge, sexe) montrent également que l’acceptabilité de certaines stratégies dépend de caractéristiques personnelles.

En particulier, la population jeune diffère assez fortement des autres, en termes de préférences de politiques anti-Covid-19 et de demandes de compensation monétaire, suggérant la nécessité d’un « menu » adapté de politiques anti-Covid-19, basé sur des attitudes distinctes.

Évaluer les préférences de la population

L’étude utilise une méthode de révélation des préférences, le « Discrete Choice Experiment », permettant d’évaluer les préférences de la population sur diverses combinaisons de politiques publiques de contrôle des épidémies de COVID-19.

Entre le 4 et le 16 mai 2020, à la fin du premier confinement en France, notre équipe a réalisé une enquête sur Internet portant sur un échantillon représentatif de la population française.

Un des objectifs de l’enquête était d’évaluer l’acceptation des mesures de restriction parmi les principales stratégies anti-COVID discutées par le gouvernement français au début du mois d’avril pour la période suivant le confinement.

Le graphique ci-dessous donne un classement des préférences pour l’ensemble de la population et pour certains sous-groupes, définis en fonction de leur vulnérabilité clinique, de l’âge ou du sexe.

Classement des préférences pour l’ensemble de la population et pour certains sous-groupes. auteurs, Author provided

Un mal nécessaire

Les masques, les restrictions dans les transports publics et le traçage numérique (via une application optionnelle pour téléphone portable) ont été jugés acceptables par la population en général, à condition que les restrictions sur chacune de ces dimensions restent raisonnables. Ainsi, le port du masque est bien moins accepté lorsque la mention « partout » lui est associée.

À l’inverse, des semaines supplémentaires de confinement, la fermeture des restaurants et des bars, et une restriction excessive des déplacements pour les loisirs (inférieurs à 100 km) n’ont pas été jugées acceptables.

Dans l’ensemble, ces résultats indiquent que la population française a relativement bien accepté les mesures de restriction qui ont suivi le premier confinement, les vivant certes comme des contraintes, mais également comme un « mal nécessaire », à mettre en perspective avec le risque d’un confinement supplémentaire, une éventualité qui quant à elle a été perçue de manière très négative.

Le rejet pour des semaines supplémentaires de confinement était d’ailleurs plus que proportionnel : plus la durée de confinement additionnel est longue, plus l’intensité avec laquelle elle est rejetée est élevée.

Les personnes vulnérables plus tolérantes

Par rapport à la population générale, les personnes cliniquement vulnérables, c’est-à-dire celles qui déclarent souffrir d’une maladie chronique, ont montré une meilleure tolérance au confinement, une plus grande acceptation du port du masque et ont moins rejeté les fermetures de restaurants et de bars.

Cependant, ces différences étaient faibles, indiquant soit une forme d’altruisme de la part des non vulnérables envers les personnes vulnérables, soit une faible singularité des personnes vulnérables dans leurs attitudes face au risque.

Les jeunes (18-24 ans) étaient le groupe le plus dissonant, peut-être parce qu’ils sont moins concernés par les risques sanitaires que les groupes plus âgés (même si le risque médical n’est pas nul pour les jeunes, et reste important pour les aînés avec lesquels ils sont en contact).

Nous avons proposé dans notre enquête, parmi les différents attributs, une compensation financière pour pallier le poids des politiques de restriction. Nos analyses ont montré que les jeunes étaient nettement en faveur de cette proposition, contrairement aux autres segments de la population qui l’ont clairement rejetée.

De ce résultat, nous pouvons en déduire que les incitations financières pourraient être un instrument efficace quand elles sont ciblées sur les jeunes, et qu’elles sont susceptibles de pousser les jeunes à mieux accepter les options de politiques anti-COVID contraignantes.

Cette solution reviendrait à appliquer un mécanisme de compensation comme par exemple un transfert à la Pigou, déjà appliqué dans d’autres champs de l’économie publique. Selon Arthur Pigou, économiste anglais du début du XXe siècle, les principes de « l’économie du bien-être » peuvent conduire à taxer -ou indemniser- les individus qui exercent des effets externes négatifs -ou positifs-, de façon à les ramener à des comportements plus optimaux pour la société.

Ainsi, savoir comment les personnes au sein d’une population classent les différentes mesures prophylactiques liées au COVID-19 est une condition indispensable pour concevoir des programmes et des mesures appropriés, un défi que de nombreux pays de l’hémisphère Nord doivent relever chaque jour en attendant qu’un vaccin soit largement disponible.

Notre enquête souligne donc la nécessité de politiques anti-COVID plus proches des sensibilités des personnes.

Elle propose des pistes, en particulier à travers l’indemnisation des jeunes, pour permettre une meilleure acceptabilité des politiques de contrôle, tenant compte des préférences des différents segments de population, et pour éviter qu’une partie d’entre eux refuse d’adhérer aux mesures, propageant alors le risque épidémique dans la société tout entière.

Mirmande PatrimoineS vous présente ses meilleurs voeux pour cette nouvelle année ! L’accord sur le Brexit : ce qu’il contient et ce qui est à venir pour le Royaume-Uni et pour l’UE

01 vendredi Jan 2021

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  1. Andrew GlencrossSenior Lecturer in Politics and International Relations, Aston University

Déclaration d’intérêts

Andrew Glencross has received funding from the European Commission and the ESRC.

Aston University

Aston University apporte un financement en tant que membre adhérent de The Conversation UK.

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CC BY NDNous croyons à la libre circulation de l’information
Boris Johnson annonce la signature de l’accord. PA/Paul Grover

Pour citer Shakespeare, les négociations sur le Brexit sont maintenant terminées. Les discusssions tumultueuses n’ont pas conduit à une voie sans issue, même si le gouvernement britannique a parfois donné l’impression qu’il s’agissait d’une querelle digne des Montaigu contre les Capulet.

Les négociateurs ont ignoré le bruit de fond et ont réussi à rédiger un document juridique dense sur lequel repose désormais l’avenir des relations entre le Royaume-Uni et l’UE.

Comment l’accord est intervenu

Tout au long des négociations, le Royaume-Uni a insisté sur le fait qu’il devait être traité comme un égal souverain de l’UE et que son indépendance devait être respectée. Cela a été particulièrement important en ce qui concerne les droits de pêche, l’une des dernières questions à résoudre.

Il y a toujours eu deux problèmes avec cet argument. Premièrement, comme l’a expliqué le ministre espagnol des affaires étrangères – un négociateur commercial chevronné – un accord commercial est conçu pour établir l’interdépendance plutôt que d’être un exercice d’affirmation d’indépendance.

Deuxièmement, l’UE est tout simplement une puissance plus importante économiquement parlant que le Royaume-Uni. Cela signifie que Bruxelles est convaincue qu’elle peut mieux résister que le Royaume-Uni à une séparation sans accord. En refusant de prolonger la période de transition malgré la pandémie, le Premier ministre Boris Johnson a fait en sorte que les deux parties soient confrontées à la même pression temporelle. Mais elles n’étaient pas confrontées au même niveau de risque si aucun accord n’était conclu. C’est pourquoi le véritable maître d’œuvre de l’accord Brexit était le temps, et non Johnson ou Angela Merkel, comme l’ont souvent rapporté les journaux britanniques.

Néanmoins, il semble que le gouvernement britannique va crier victoire en faisant valoir qu’il est désormais en mesure d’échapper à la juridiction de la Cour européenne de justice tout en obtenant un accès en franchise de droits et de contingents pour les marchandises exportées vers l’UE.

C’est exactement ce qu’a fait Downing Street dans une déclaration faite immédiatement après l’annonce de l’accord :

L’accord… garantit que nous ne sommes plus dans la zone d’attraction lunaire de l’UE, que nous ne sommes pas liés par les règles de l’UE, que la Cour de justice européenne n’a aucun rôle à jouer et que toutes nos principales lignes rouges concernant le retour de la souveraineté ont été respectées. Cela signifie que nous aurons une indépendance politique et économique totale le 1er janvier 2021.

Mais la réalité – comme pour tout ce qui concerne Brexit depuis 2016 – est bien plus complexe.

Ce que contient l’accord

Le négociateur de Boris Johnson, David Frost, a fait valoir que le Royaume-Uni voulait simplement un accord de libre-échange standard comme celui entre le Canada et l’UE. En réalité, le Royaume-Uni demandait d’autres mesures, telles que la reconnaissance mutuelle de l’évaluation de la conformité des marchandises et la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles. L’UE ne semble pas avoir bougé sur ces points.

Bruxelles a également insisté sur le fait que l’accord exigeait des garanties juridiques pour empêcher le Royaume-Uni de décoter le marché unique en utilisant sa nouvelle autonomie pour abaisser les normes environnementales ou les droits du travail. M. Johnson a donné son accord de principe à cette idée de conditions équitables dans la déclaration politique qui accompagnait l’accord de retrait de 2019 alors adopté par le Parlement. Puis, plus tard dans les négociations, il a tenté de revenir sur cette promesse. Finalement, il a fait volte-face. L’accord stipule que toute divergence par rapport aux normes européennes entraînerait une restriction potentielle de l’accès au marché unique.

Lors d’une conférence de presse, Boris Johnson a rassuré les « fanatiques de poisson » en leur disant qu’il y aurait de quoi remplir leur assiette, mais l’accord signifie que pendant les cinq ans et demi à venir, les navires basés dans l’UE continueront à bénéficier d’un accès important aux eaux britanniques, pendant la période de transition vers un accord final.

Il est clair que la libre circulation des personnes a pris fin, tandis que les marchandises seront soumises à des contrôles douaniers et réglementaires. Le chaos dans les transports autour du port de Douvres est donc toujours possible après le 1er janvier si les exportateurs ne disposent pas des documents nécessaires pour traverser la Manche.

Comme ils ne l’ont pas fait depuis une génération, il y aura forcément des difficultés. Les transporteurs basés dans l’UE pourraient également opter pour la prudence et, à court terme, éviter le risque de voir leurs camions bloqués au Royaume-Uni. Le Royaume-Uni quittera également le programme d’échange Erasmus pour l’enseignement supérieur, ce qui portera un coup à de nombreux étudiants – bien que le Royaume-Uni envisage maintenant de lancer son propre programme « Turing » pour offrir des stages dans des universités du monde entier.

L’avenir du secteur clé des exportations britanniques, à savoir les services financiers, est beaucoup moins clair. En dehors du marché unique, la City de Londres compte sur l’Union européenne pour obtenir l’autorisation de servir les clients basés dans l’UE et de leur vendre des produits bancaires, comptables et juridiques associés. Cet accord d’« équivalence » est réexaminé en permanence, en fonction de l’approche britannique en matière de réglementation financière et de protection des données. Cela place le secteur sur une base beaucoup moins solide que, par exemple, l’industrie manufacturière.

Vendre l’accord

La danse est terminée, mais il faut maintenant vendre la marchandise. Les demandes de crédit et l’évitement des reproches seront les deux priorités du gouvernement britannique. Johnson ne manquera pas de mettre l’accent sur la souveraineté en soulignant la capacité à éviter l’intrusion du droit communautaire.

Le jeu des reproches à venir pourrait d’ailleurs devenir intéressant. En effet, l’accord exige un dialogue constant avec l’UE sur des questions qui peuvent évoluer, telles que les subventions gouvernementales. C’est la position dans laquelle se trouve constamment la Suisse. L’accord sur le Brexit exige que les deux parties se soumettent à un examen général au bout de quatre ans pour s’assurer qu’elles remplissent les conditions requises. Les députés conservateurs eurosceptiques, qui ont fait pression en faveur d’un non-accord, peuvent considérer cela comme une concession de trop.

Que peut faire Boris Johnson pour surmonter l’opposition interne ? Sa majorité parlementaire est suffisante pour surmonter tout ce qui n’est pas une révolte majeure. Mais sa carte la plus forte pourrait être de simplement rejeter la faute sur sa prédécesseure, Theresa May, pour avoir déclenché le Brexit sans plan.

Pendant ce temps, la première ministre écossaise Nicola Sturgeon a tweeté, immédiatement après l’annonce de l’accord, qu’« aucun accord ne compensera jamais ce que Brexit nous enlève. Il est temps de tracer notre propre avenir en tant que nation européenne indépendante ».

Ainsi, si un épisode de ce long drame touche à sa fin, il semble que d’autres, concernant l’avenir même du Royaume-Uni, soient loin d’être terminés.

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