• Actualités régionales
    • Communes limitrophes
    • Régionales
  • Adhésion
  • André Lhote
  • Au-delà du 14 juillet, des interrogations tenaces sur l’usage des armées
  • Auteurs morts en 17, (déjà…)
  • BD « Sciences en bulles » : À la recherche des exoplanètes
  • Bonnes feuilles : Le château d’If, symbole de l’évasion littéraire
  • Comment la lecture enrichit l’éducation des enfants
  • Corruption, contrebande : le drame de Beyrouth et la question de la sécurité dans les zones portuaires
  • Des crises économiques à la crise de sens, le besoin d’une prospérité partagée
  • Evènements
  • Lecture : comment choisir un album qui peut vraiment plaire aux enfants
  • L’économie fantôme de l’opéra
  • L’Europe s’en sortirait-elle mieux sans l’Allemagne ?
  • Maladie de Lyme : attention au sur-diagnostic !
  • Mirmande
    • Pages d’histoire
    • AVAP et PLU
    • Fonds de dotation et patrimoine
  • NutriScore : quand l’étiquetage des aliments devient prescriptif
  • Penser l’après : Le respect, vertu cardinale du monde post-crise ?
  • Podcast : le repos, une invention humaine ?
  • Prévoir les changements climatiques à 10 ans, le nouveau défi des climatologues
  • Qui sommes-nous?
  • Réforme de la taxe d’habitation… et si la compensation financière n’était pas le seul enjeu ?
  • Revues de presse et Chroniques
  • S’INSCRIRE AU BLOGUE
  • Scène de crime : quand les insectes mènent l’enquête
  • The conversation – Changement climatique : entre adaptation et atténuation, il ne faut pas choisir
  • Une traduction citoyenne pour (enfin) lire le dernier rapport du GIEC sur le climat

Mirmande PatrimoineS Blogue

~ La protection des patrimoines de Mirmande.com site

Mirmande PatrimoineS Blogue

Archives Journalières: 04/04/2021

Deuxième article du dimanche : Histoire des moulins à Mirmande

04 dimanche Avr 2021

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

≈ Poster un commentaire

,…

Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Moulin

et HISTOIRE DES MOULINS DE MIRMANDE A COMPTER DU 2 mai 1583 à Mirmande

La bibliothèque libre : Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle

MOULIN

s. m. Molin, molinel, molis. Ne nous occupant ici que des bâtiments contenant une machine à
moudre, à fouler ou à façonner des métaux, nous avons les moulins mus par un cours d’eau et les
moulins à vent. Les moulins à eau paraissent être les plus anciens. Lambert, quarantième abbé de
Saint-Bertin, fait établir définitivement des moulins à eau, commencés sous Odland en 797. Ces
moulins, dit la chronique des abbés de Saint-Bertin, étaient les premiers qui furent établis dans le

pays-. Cet abbé Lambert (1095 à 1123) fit exécuter même des travaux hydrauliques qui paraissent
avoir été assez importants, puisqu’au moyen des roues motrices des moulins abbatiaux il fit monter
l’eau nécessaire au service du monastère, afin de la répandre dans les bâtiments par des aqueducs

souterrains. Il n’est pas question de moulins à vent en France antérieurement au XIIe siècle.
Quelques auteurs prétendent que l’invention de ces sortes de moulins fut rapportée d’Orient par les

premiers croisés; et, en effet, les moulins à vent sont nommés en Normandie, pendant le XIve
siècle, moulins turquois. Des chartes de Philippe-Auguste concèdent le droit d’établir des moulins à
vent et des moulins à eau2., et dans le roman d’Ogier de Danemarche-, il est deux fois question de
moulins à eau.

« Del brut de lui (de la fontaine) tornent troi moline1
Qui ne s’arestent ne esté ne yver1.

Quant il veIt moIre, par soi le va cargier,

Et le molin vait par lui afaitier=. »

Les Ohm donnent des arrêts du parlement relatifs à l’établissement de moulins à vent. Nous citerons
l’un de ces arrêts, rendu en 1275, sous Philippe III :

« Les moines de Royaumont se plaignaient de ce qu’un moulin à vent, appartenant à Pierre de
Baclai, avait été récemment construit, près de Baclai, à leur préjudice et dommage, et au détriment
de leurs moulins de Gonesse; ils demandaient que ce moulin fût détruit, lorsque, disaient-ils, le
seigneur Roi l’aurait dit ou commandé par jugement. Les raisons des parties adverses entendues,
l’arrêt suivant fut prononcé: Le moulin, quant à ce qui concernait les moines, ne devait pas être détruitQ. »

Au xv siècle, le seigneur de Caumont, en passant à Rhodes et décrivant les édifices qui lui
paraissent remarquables dans la ville, s’exprime ainsi:

« … Et tout au lonc d’icelle (muraille de la cité) sont assis.XVI. molis de vent, toux d’un ranc, qui
nuyt et jour molent yver et esté; et à paynes l’on les voit toux ensemble molir he toux à ung cop

cesser1. »

Sur les tours de l’enceinte intérieure de la cité de Carcassonne, il y avait plusieurs moulins à vent,
ainsi que le constatent une vignette de 146711 et les dénominations anciennes de quelques-unes de
ces tours ». Les moulins à eau dépendant de châteaux ou d’abbayes isolés étaient souvent fortifiés.
L’établissement d’un moulin ne pouvait avoir lieu que par une cession du seigneur terrien. En
cédant le droit de bâtir un moulin, le seigneur lui assignait une étendue de territoire, le ban du

moulin. Tous les habitants compris dans les limites du ban étaient tenus de faire moudre leur grain
dans le moulin banal, sous peine de voir confisquer leur blé, le cheval et la voiture, au profit du
propriétaire du moulin et du seigneur du délinquant. Ces moulins devenaient ainsi de véritables fiefs
dont la conservation importait au seigneur qui en avait permis l’établissement, au propriétaire et aux
habitants compris dans le ban; il était nécessaire que ces bâtiments fussent en état de résister à un
coup de main, de se défendre. Aussi les bâtissait-on autant que possible sur des îlots, ou bien le long
d’un pont facilement barricadé. Ces moulins étaient assez forts quelquefois pour soutenir un siège
en règle, et, afin qu’on ne pût détruire leurs roues motrices au moyen de pierriers ou de
mangonneaux, celles-ci étaient alors soigneusement abritées sous la construction en maçonnerie. Le
moulin dit du Roi, sur l’Aude, à Carcassonne, résista ainsi aux attaques de l’armée de Trencavel, en
1240. Dans son excellent ouvrage sur la Guienne militaire, M. Léo Drouyn donne plusieurs exemples de moulins à eau qui datent la plupart du XIve siècle, et qui font voir avec quel soin ces usines étaient établies au moyen âge. Le bâtiment qui contient le mécanisme est presque toujours sur plan carré ou barlong, la roue motrice étant placée en dedans le long d’un des côtés du parallélogramme. S’il n’existe plus de moulins antérieurs au XIIIe siècle, les textes aussi bien que les représentations de ces usines ne peuvent nous laisser de doutes sur leur établissement dès le
commencement du XIIe siècle au moins. Un des chapiteaux de la nef de Vézelay nous montre un
mécanisme de moulin et des gens qui apportent du grain dans la trémie. Le manuscrit d’Herrade de Landsberg, qui date du XIIe siècle, nous montre également le mécanisme d’un moulin à eau possédant une roue motrice à palettes dont l’arbre, muni d’une roue d’engrenage, fait tourner la meule inférieure. Dès le temps de Guillaume le Conquérant, dit M. L. Delisleil, on avait établi à l’entrée du port de Douvres un moulin mis en mouvement par le flux et le reflux de la mer12. « En 1235, il en existait un à Veules13.

« Au XIVe siècle, l’archevêque de Rouen possédait à Dieppe deux moulins de marée … »En 1277,
Philippe le Hardi avait affermé à Guillaume l’Archier les moulins de marée établis aux ponts
d’Ouve, près Carentan.

Il existe en France des moulins à eau d’une date ancienne et qui sont encore en usage; on en trouve
en Normandie, en Touraine, et particulièrement en Guienne, où ces usines, presque toutes fortifiées,
ont été établies pendant la domination anglaise, époque de prospérité et de développement pour
cette province. À Melun, avant 1830, on voyait encore les restes d’un moulin fortifié dépendant des
ruines connues sous le nom de château de la reine Blanche. Ce moulin, dont on ne voyait plus que
les soubassements, se composait de deux piles épaisses avec éperons opposés au courant de la
rivière et couronnées de tourelles; de celles-ci, les premières assises seulement étaient apparentes.
La roue motrice était placée entre ces deux piles et parfaitement garantie par conséquent. Le plan du
rez-de-chaussée, porté par une arche qui réunissait les deux piles, n’était probablement qu’une salle
barlongue. Nous n’avons pu nous procurer sur le couronnement de cette usine aucun renseignement. La construction datait certainement du XIIIe siècle, à considérer les profils de la souche des tourelles.

Comment la pandémie redessine les chemins des jeunes vers l’autonomie

04 dimanche Avr 2021

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

≈ Poster un commentaire

  1. Elodie GentinaAssociate professor, marketing, IÉSEG School of Management
IESEG School of Management

IESEG School of Management apporte un financement en tant que membre adhérent de The Conversation FR.

CC BY NDNous croyons à la libre circulation de l’information

Republier cet article

Avec l’enseignement à distance, les étudiants doivent réinventer d’autres façons de créer du lien avec leurs pairs. Shutterstock

Des études brutalement interrompues, des stages et des jobs d’été annulés, des fêtes entre amis interdites, des recherches d’emploi compromises… Bien que divers facteurs freinaient déjà la prise d’autonomie des jeunes, comme la difficulté d’insertion pour les jeunes sans formation (60 000 jeunes âgés de moins de 18 ans sortent chaque année du système scolaire sans aucune qualification), la crise sanitaire pose un obstacle inattendu au cheminement des jeunes vers l’âge adulte et vers l’indépendance.

Cette notion de prise d’indépendance correspond à cette période de l’existence située entre l’enfance et l’âge adulte, marqué par l’indépendance dans toutes ses formes, économique, résidentielle, juridique… Dans une étude sur les valeurs, conduite de 1981 à 2018 par Pierre Bréchon, Frédéric Gonthier et Sandrine Astor, la valeur d’individualisation, désignant la volonté d’autonomie et la valorisation des choix individuels, a quadruplé en 20 ans. Voilà une preuve que les jeunes revendiquent fortement le besoin de liberté.

De l’indépendance matérielle à l’autonomie psychologique

Différentes disciplines reconnaissent en l’indépendance un thème fondamental et pertinent pour comprendre la jeunesse. Dans le domaine du droit, la loi en France a défini toute une série d’actes pour lesquels le mineur dispose d’une autonomie : par exemple, il obtient, à 12 ans, l’accès à la carte de retrait bancaire. Il devra attendre 14 ans pour conduire un cyclomoteur et 16 ans pour détenir une carte de paiement ou accéder à la conduite accompagnée.

La sociologie traditionnelle définit un individu comme indépendant s’il est majeur et s’il ne dépend plus de ses parents pour assurer les moyens de sa subsistance. L’indépendance a été essentiellement analysée en sociologie selon une vision spécifiquement orientée vers l’émancipation financière des jeunes. S’assumer financièrement, avec son propre logement, avoir une activité salariée ou professionnelle suffisante pour subvenir à ses besoins sont des critères décisifs de l’indépendance.

Or les jeunes arrivant sur le marché du travail subissent de plein fouet la crise et l’envolée du chômage provoquées par l’épidémie de Covid-19, faisant voler en éclats leurs projets et brouillant leur horizon. Sur l’ensemble de l’année 2020, selon la DARES (Direction des Statistiques du Ministère du Travail), le nombre d’embauches de jeunes de moins de 26 ans en CDI et CDD de plus de trois mois a reculé de 14 % par rapport à 2019.https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?creatorScreenName=ElodieGentina&dnt=false&embedId=twitter-widget-0&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1319013767909343239&lang=en&origin=https%3A%2F%2Ftheconversation.com%2Fcomment-la-pandemie-redessine-les-chemins-des-jeunes-vers-lautonomie-158096&siteScreenName=FR_Conversation&theme=light&widgetsVersion=e1ffbdb%3A1614796141937&width=550px

En psychologie, la prise d’indépendance des jeunes est analysée plutôt sur un plan affectif comme une séparation d’avec les parents.

Pendant longtemps, l’autonomie était synonyme d’indépendance, relevant de l’échelle macrosociale, celle de la société et de ses événements marqueurs vers le passage à l’âge adulte, comme le fait d’avoir un métier, de constituer un foyer ou encore d’être marié. Cette définition de l’autonomie est aujourd’hui insuffisante pour expliquer le passage à l’âge adulte.

Les jeunes peuvent disposer d’une certaine autonomie, par exemple affective vis-à-vis de leurs parents (le fait d’arrêter de projeter sur eux toutes leurs difficultés, toutes leurs incomplétudes), sans être pleinement indépendants car ils ne disposent pas des ressources, notamment financières et matérielles, qui le permettent.

La stigmatisation qui vient de l’époque où le modèle consistait à absolument partir et ne pas revenir chez ses parents pour marquer son indépendance ne semble plus valable aujourd’hui, face à une tout autre réalité économique, qui nécessite qu’un grand nombre de jeunes retournent chez leurs parents car sans aucune autre alternative. En 2016, un tiers des étudiants n’avaient pas pris leur indépendance. Le phénomène a doublé en l’espace de 3 ans : en 2019, ils sont 60 %.

La crise sanitaire liée au coronavirus amplifie ce phénomène, avec des raisons encore nouvelles et des configurations différentes qui viennent se greffer de part et d’autre. Depuis mars 2019, près de 50 % des étudiants français ont été contraints de quitter leur logement pour retourner chez leurs parents et reprendre une place d’enfant au sein du cocon familial, du fait de difficultés financières pour près d’un tiers d’entre eux. Un certain nombre d’étudiants ont ainsi reçu des aides (36 % déclarent avoir bénéficié des aides d’associations, de la famille ou du Crous et 19 % des aides matérielles.

Le confinement peut dès lors être vécu par les jeunes comme une sorte de régression imposée vers le monde de l’enfance, une confrontation à une promiscuité dérangeante qui vient perturber le processus de prise d’autonomie des jeunes qui, faute d’emploi, ont dû retourner chez leurs parents.

Rites de passage

Avoir 18 ans, c’est avoir son bac. Ces événements s’inscrivent dans une projection et une représentation de l’avenir et sont quelques-uns des éléments qui fabriquent le rite initiatique de passage vers l’âge adulte.

L’annulation du baccalauréat, première vraie épreuve sur la route de la jeunesse, peut sembler une première entrave à la prise d’autonomie. Alors que les autres rites d’intégration ont perdu de leur valeur (tels que le permis de conduire, le service civique…), le bac a une valeur initiatique. Comme l’indique la formule « passe ton bac d’abord ! », il peut même s’apparenter à un rite de passage républicain qui subsiste, puisque l’épreuve est passée par l’ensemble d’une génération et marque l’entrée dans la vie adulte.https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?creatorScreenName=ElodieGentina&dnt=false&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1262178452528140288&lang=en&origin=https%3A%2F%2Ftheconversation.com%2Fcomment-la-pandemie-redessine-les-chemins-des-jeunes-vers-lautonomie-158096&siteScreenName=FR_Conversation&theme=light&widgetsVersion=e1ffbdb%3A1614796141937&width=550px

La mobilité est un autre tremplin vers l’émancipation. À l’heure de la Covid-19, 72 % des jeunes qui avaient un projet de mobilité internationale n’ont pas pu le réaliser, et les programmes Erasmus se sont adaptés pour proposer des formes de mobilité virtuelle et hybride.

Selon les anthropologues, nous sommes face à un affadissement des rites initiatiques puisqu’il n’y a plus de moments ritualisés qui marquent consciemment le passage de l’état d’enfant à l’état d’adolescent, puis à l’état de jeune adulte.

Le passage de l’adolescence à l’âge adulte admet des allers et retours possibles, des sortes d’essais/erreurs, comme l’illustre le caractère aléatoire du départ de la maison et le retour chez les parents évoqué plus haut.

L’importance des pairs

18 ans, c’est un âge charnière où on cherche à s’émanciper, souvent en quittant la zone de confort familial pour rencontrer d’autres groupes et commencer sa vie sociale. Le jeune étant de nature profondément sociale, un des moyens de parvenir à la prise d’autonomie des jeunes par rapport à sa famille consiste à intégrer à un autre groupe : le groupe de pairs, ses amis.

Or, avec la mise en œuvre des enseignements à distance dans les lycées et principalement dans les universités, les jeunes suivent les cours par écrans interposés depuis leurs chambres, les coupant physiquement d’avec les pairs, ces indispensables relais et modèles d’individuation. La fermeture des skateparks, salles de sports, fast-food et de tous ces lieux où les jeunes se mesurent aux autres et se socialisent est nécessairement mal vécue.

Face au confinement et au couvre-feu, les jeunes sont plongés dans un univers d’interdits les conduisant à se sentir victimes de décisions arbitraires ou injustices, venant brider leur vie au quotidien et contraindre leur processus d’autonomisation. Dans quoi les jeunes peuvent-ils se réfugier pour trouver des moyens d’affirmation et d’expression d’autonomisation ?

En particulier, si les nouvelles technologies de la communication (tablettes, iPhone, usage des réseaux sociaux numériques) deviennent si importantes dans la vie des jeunes aujourd’hui, cela peut-il s’expliquer par le fait qu’il manque des lieux de sociabilité, des terrains d’expression de leur autonomisation offerts par la société ?

Les nouvelles technologies permettent aux jeunes de s’échapper d’un quotidien confiné et peuvent dès lors servir de support à l’apprentissage de l’autonomie des jeunes, puisqu’elles sont un nouveau moyen de se retirer de la sphère parentale pour se retrouver avec leurs pairs via les réseaux sociaux numériques (Snapchat, WhatsApp, Instagram, TikTok[GE15]…).

avril 2021
L M M J V S D
 1234
567891011
12131415161718
19202122232425
2627282930  
« Mar   Mai »

Stats du Site

  • 100 975 hits

Liens

  • Associations-patrimoines
  • La Fédération d'environnement Durable
  • Moelle Osseuse
  • Visite de Mirmande
avril 2021
L M M J V S D
 1234
567891011
12131415161718
19202122232425
2627282930  
« Mar   Mai »

Commentaires récents

Germain Ivanoff-Trin… dans La Russie, une nation en …
protodiacre dans La Russie, une nation en …
Germain Ivanoff-Trin… dans Trente ans après l’effondremen…
Le variant Delta pro… dans Avoir été malade de la Covid-1…
Le variant Delta pro… dans Avoir été malade de la Covid-1…

Propulsé par WordPress.com.

  • Suivre Abonné
    • Mirmande PatrimoineS Blogue
    • Rejoignez 168 autres abonnés
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • Mirmande PatrimoineS Blogue
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné
    • S’inscrire
    • Connexion
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre