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Archives Journalières: 21/04/2021

Finance : ce que la chute du fonds Archegos peut changer

21 mercredi Avr 2021

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  1. Éric PichetProfesseur et directeur du Mastère Spécialisé Patrimoine et Immobilier, Kedge Business School

Kedge Business School

CC BY NDNous croyons à la libre circulation de l’information
Le 25 mars dernier, l’ensemble des positions spéculatives du hedge fund était évalué à 50 milliards de dollars. Shutterstock

Vendredi 26 mars 2021, le cours de ViacomCBS, un conglomérat de médias américain, plongeait de 27 %, en même temps que ceux des groupes chinois Tencent Music ou Baidu (le principal moteur de recherche sur Internet chinois).

La cause de ces brutales corrections est rapidement identifiée : des ventes massives d’actions d’un montant total d’environ 20 milliards de dollars par Goldman Sachs (10 milliards), Morgan Stanley (8 milliards) et Deutsche Bank (4 milliards).

Ces ventes, inhabituelles par leur ampleur, ont fait craindre des pertes importantes pour les banques d’investissement, ce qui a déclenché une brève correction des valeurs bancaires dans le monde, sans lendemain sauf pour le Crédit suisse et le japonais Nomura dont les cours ont perdu environ 20 % ces 15 derniers jours.

Un Fonds privé victime de son hubris

Lundi 29 mars, on apprenait qu’il s’agissait de la vente des actions détenues par des prime brokers, ces départements spécialisés des banques d’affaires qui offrent une large gamme de services aux fonds spéculatifs.

Les actions en question, des « collatéraux », constituaient la garantie des positions hautement spéculatives d’Archegos Capital Management (un terme à connotation messianique qui signifie le chef, le prince en grec ancien). Ce Family office, détenant la fortune de Bill Hwang un ancien gérant de hedge funds, était devenu le plus gros actionnaire institutionnel de Viacom début 2021. Les prime brokers garantissaient au fonds une performance de 5 fois à 10 la hausse de l’action sous-jacente.


À lire aussi : Family Office : le monde discret de la gestion de patrimoine des grandes fortunes


Archegos, géré à sa totale discrétion puisque sans client extérieur, a vu son encours passer de 2 milliards de dollars à sa création en 2013 à environ 10 milliards fin 2020 et même 20 milliards en mars 2021 par la magie d’achats à fort effet de levier (endettement pour augmenter la capacité d’investissement) sur des actions technologiques très volatiles.

Le 25 mars, l’ensemble de ses positions spéculatives était évalué à 50 milliards, dont 18 milliards chez Morgan Stanley, 10 milliards chez Goldman Sachs et 10 milliards chez Crédit suisse.

Gérer les pertes de manière concertée

La brutale correction du cours de Viacom, qui a perdu 33 % entre le 22 et le 25 mars, exposait Archegos alors au défaut de paiement. Bill Hwang, réalisant que ses pertes potentielles dépassaient ses actifs, s’est alors décidé, s’inspirant de la sauvegarde du fonds LTCM en septembre 1998, à organiser en urgence, le jeudi 25 mars, une réunion téléphonique avec ses principaux prime brokers (Goldman Sachs, Morgan Stanley et Wells Fargo, UBS et Crédit suisse, MitsubishiUFJ et Nomura) pour tenter une liquidation ordonnée de ses positions et éviter ainsi des ventes massives qui auraient déprimé encore plus les cours et accru ses pertes.

Mais dans l’affaire LTCM, la concertation avait été initiée et supervisée par le régulateur des banques de Wall Street, la Federal Reserve de New York, qui avait su inciter les banques créancières à recapitaliser le fonds pour assurer, avec succès d’ailleurs, le dénouement des positions.

Rien de tel dans les échanges informels du 25 mars qui ont été conclus, selon les médias, par un vague gentlemen agreement entre les contreparties du fonds à gérer en commun la liquidation des positions. Une enquête est d’ailleurs en cours sur ce point à la demande de la Securities and Exchange Commission (SEC) et de la Financial Conduct Authority londonienne.

L’accord a de fait très vite volé en éclat lorsque les banques new-yorkaises ont décidé de vendre leurs positions dès le 25 mars au soir dans des opérations de gré à gré avec des hedge funds (pour Morgan Stanley) puis sur le marché boursier le vendredi 26 mars. La Deustche Bank, qui avait détecté des mouvements importants sur les titres, a également soldé son exposition le 26 mars prenant de court Crédit suisse et Nomura contraintes de vendre au plus bas le lundi 29 mars.

Au terme de ces cessions, il semble qu’Archegos, qui a perdu la totalité de son capital, laisse une ardoise totale de quelque 10 milliards de dollars principalement chez Crédit suisse (4,7) et Nomura (2 milliards).

Des contrôles internes à renforcer

Comme dans l’affaire LTCM, les banques d’affaires, à l’exception notable de JPMorgan Chase qui avait refusé de traiter avec Hwang, n’ont pas scruté avec suffisamment d’attention le CV d’un gérant qui avait dû plaider coupable devant la SEC en 2012, écopant au passage d’une amende de 44 millions dollars et de 5 ans d’interdiction de trading.

Pire, conscient de son passé, mais alléché par les perspectives de plantureuses commissions, Goldman Sachs est finalement passé outre ses réticences initiales.

Les déboires d’Archegos auront coûté près de 5 milliards de dollars au Crédit suisse. Spencer Platt/AFP

Une fois la relation d’affaires établie, le financement des clients institutionnels fait systématiquement l’objet d’un dépôt de garantie (le collatéral) chez le prime broker et d’appels de marge quotidiens (versement supplémentaire pour couvrir une dépréciation). En effet, les procédures internes des banques exigent qu’au premier signal d’alerte, en cas de défaut sur les appels de marge, les positions trop risquées soient soldées.

Ici le mot d’ordre est la réactivité : c’est cette variable clé qui a manqué à Nomura et surtout au Crédit suisse, dont l’affaire Archegos a mis en lumière les défaillances du management des risques.

Extension du domaine de la régulation

Quelles conséquences de l’affaire peut-on anticiper ? Notons d’abord que la chute d’Archegos n’a manifestement pas eu d’impact ni sur la stabilité des marchés financiers ni sur la solvabilité du système bancaire, les moins-values étant absorbées sans difficulté par les banques perdantes.

Elle ne devrait pas remettre en cause non plus le business lucratif des départements de prime brokerage des banques d’investissement qui représente quelque 15 milliards de dollars de revenus par an (dont 4 milliards en Europe).

En revanche, les déboires d’Archegos devraient renforcer la vigilance des clients institutionnels des banques d’investissement et probablement accentuer encore la concentration d’un métier qui restera l’apanage d’une poignée d’acteurs très réactifs et dotés d’une culture sophistiquée des marchés financiers (maîtrisant leur liquidité, leur volatilité, etc.) pour évaluer les positions spéculatives de leurs clients (même si elles ne peuvent pas avoir une vision globale de l’ensemble de leurs positions, les fonds spéculatifs travaillant en général avec plusieurs prime brokers). Elle devrait également inciter les prime brokers à limiter l’effet de levier accordé à leurs clients.

Les régulateurs semblent en revanche d’ores et déjà tentés de durcir la régulation, en particulier sur la transparence des positions susceptibles de déclencher un risque systématique. Les pouvoirs publics devraient notamment demander au Congrès d’amender le Dodd-Franck Act de 2010 qui permet aux fonds spéculatifs d’échapper à la réglementation de la SEC.

Janet Yellen, secrétaire au Trésor des États-Unis. US Department of the Treasury

La secrétaire au Trésor Janet Yellen a d’ailleurs souligné que l’endettement de certains fonds pouvait amplifier les turbulences des marchés lors de sa première réunion du Financial Stability Oversight Council. En outre, le président du comité bancaire du Sénat a, dès le 5 avril, sommé les banques impliquées dans l’affaire Archegos de justifier leurs relations sous 15 jours.

La lutte contre les conflits d’intérêts des prime brokers devrait également être renforcée après la découverte que Morgan Stanley avait participé activement à la levée de 3 milliards dollars d’actions nouvelles pour Viacom, ce qui a contribué à diluer les anciens actionnaires à l’origine de la baisse des cours à compter du 22 mars 2021.

Reste la question fondamentale pour la stabilité financière : les régulateurs parviendront-ils un jour à être correctement informés des positions du « shadow banking », dont les fonds fermés au public et donc non régulés constituent un élément clé ?

Les jeux érotiques de Salammbô et de son python fétiche

21 mercredi Avr 2021

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  1. Christian-Georges SchwentzelProfesseur d’histoire ancienne, Université de Lorraine
Université de Lorraine
CC BY NDNous croyons à la libre circulation de l’information
Salammbô
Salammbô par Gaston Bussière (1910), Musée des Ursulines, Mâcon. Wikipédia, CC BY

Le célèbre roman de Flaubert, Salammbô, publié en 1862, mêle histoire ancienne et fantasmes. L’auteur, qui avait d’abord penché pour un conte égyptien, qui se serait intitulé Anubis (du nom d’une ancienne divinité pharaonique), n’a pas choisi la facilité. De l’antique Carthage, où il situe son intrigue, ne subsistent ni pyramides, ni grand sphinx, ni momies… L’archéologie carthaginoise, au milieu du XIXe siècle, n’en était qu’à ses débuts. Salammbô n’en connut pas moins un énorme succès que retrace l’exposition « Fureur ! Passion ! Éléphants ! », à l’occasion du bicentenaire de la naissance de Gustave Flaubert.

C’est une exposition itinérante, constituée autour de la figure de Salammbô, qui sera successivement présentée au Musée des Beaux-Arts de Rouen (à partir du 20 mai 2021), au Mucem à Marseille (fin 2021-début 2022), puis au Musée du Bardo à Tunis (du printemps à la fin de l’été 2022).

Trois étapes d’une chaîne qui suivra à peu près le périple que Flaubert lui-même accomplit en 1858, lorsqu’il se rendit en Afrique du Nord, en quête d’informations et de sensations, mais aussi de rêveries et de fantasmes, qui devaient nourrir son projet littéraire.

L’Orient précieux et cruel

Le roman déborde d’or, de pierres précieuses et de tissus splendides. L’accumulation de termes rares et la débauche descriptive y créent un exotisme mystérieux et envoûtant. Cet Ailleurs est aussi un lieu d’expression de la cruauté. Raffinement extrême et barbarie sanglante sont les deux pôles que Flaubert se plaît à réunir.

Il compose des scènes terribles, source de jubilation trouble. Des lions crucifiés, des hommes écrasés par des éléphants, des enfants sacrifiés dans le feu du grand dieu Baal. Un étalage sidérant et jouissif sous la façade de la reconstitution historique et de l’érudition.

Wikipedia
Salammbô par Glauco Cambon (1916).

L’exactitude archéologique n’importe que dans la mesure où elle assure la promotion de descriptions raffinées, parfois scabreuses ou sadiques, dont le but est d’abord de provoquer l’imaginaire du lecteur et de réveiller ses fantasmes. Il ne faut pas prendre Salammbô trop au sérieux. Souvent Flaubert s’amuse. Il peut donc, en janvier 1863, écraser de son mépris ironique les attaques de Wilhelm Frœhner, un savant archéologue du moment :

« Je n’ai, monsieur, nulle prétention à l’archéologie. J’ai donné mon livre pour un roman, sans préface, sans notes, et je m’étonne qu’un homme aussi illustre que vous, par des travaux si considérables, perde ses loisirs à une littérature si légère ! »

Des œuvres dérivées de Salammbô

La puissance évocatrice du roman a donné naissance à toute une série d’œuvres secondaires inspirées de quelques scènes particulièrement marquantes et jouissives.

Il y a, bien sûr, la perte de la virginité de Salammbô dans les bras du Libyen Mâtho que la jeune fille est allée trouver dans le camp des mercenaires (chapitre XI, « Sous la tente »). En 1895, une sculpture de Théodore Rivière montre l’amant de la jeune fille, « à genoux, par terre, devant elle », soupirant « de façon caressante » en étreignant le corps désiré.

Théodore Rivière, Salammbô chez Mathô. Je t’aime ! Je t’aime, 1895.

On pense à Cléopâtre s’offrant à César, selon la description que donne l’auteur antique Plutarque (Vie de César, 54) de la première nuit d’amour entre la reine d’Égypte et le chef romain.

Flaubert établit également un lien avec Judith, l’héroïne biblique, qui rejoint sous sa tente le général Holopherne, ennemi de son peuple, afin de le séduire avant de le décapiter. D’ailleurs, Salammbô, saisie « d’une envie sanguinaire » songe elle aussi, un instant, à tuer Mâtho endormi.

Érotisme torride et serpent sexuel

Gaston Bussière, Salammbô, 1910. Wikimedia

L’autre moment intense qui suscita une importante production artistique est la fameuse danse de Salammbô avec son python « fétiche » (chapitre X, « Le serpent »). Outre la référence biblique à Eve confrontée au reptile tentateur, Flaubert a pu en trouver l’idée dans l’œuvre de Plutarque (Vie d’Alexandre, 2) et de Justin (Histoires philippiques, XI, 11) qui évoquent l’union entre Olympias, mère d’Alexandre le Grand, et Zeus, le grand dieu, incarné sous la forme d’un serpent. « Un serpent d’une grosseur prodigieuse » (serpente ingentis magnitudinis), écrit Justin. L’historien latin Suétone (Vie d’Auguste, 94) rapporte quant à lui une légende racontant que la mère du futur empereur Auguste vit en songe un reptile venu faire l’amour avec elle.

Un tableau de Gaston Bussière (1910) illustre les préliminaires de la danse de Salammbô avec son python lorsque, « la queue collée contre le sol, il se leva tout droit ».

Autre œuvre dérivée du roman, une sculpture de Désiré Maurice Ferrary montre le serpent qui enlace déjà le corps de la jeune fille. Salammbô paraît s’abandonner au plaisir intense que lui procure la caresse du reptile.

L’artiste a probablement voulu traduire dans le marbre l’image mentale suggérée par cette phrase : « Salammbô haletait sous ce poids trop lourd, ses reins pliaient ».

Salammbô par Désiré Maurice Ferrary (1899).

La relation avec le reptile rapproche encore Salammbô de Cléopâtre dont le suicide, par la morsure d’un serpent, a souvent été représenté dans l’art, dès le Moyen Âge, comme un orgasme produit par un reptile phallique. Le contact entre les seins de la reine et le serpent produit un puissant effet érotique. Beauté du corps féminin nu et monstruosité de l’animal, plaisir et mort sont imbriqués.

Mais pour Salammbô, « mourir » sous le poids de son python est métaphorique. Le verbe suggère l’abandon à un plaisir intense qui fait perdre tout contrôle de soi en une pâmoison érotique. Contrairement au suicide de Cléopâtre, on remarque aussi que le reptile ne touche pas les tétons de la Carthaginoise, mais pénètre au creux de ses cuisses : « Elle se sentait mourir ; et du bout de sa queue, il lui battait la cuisse tout doucement ».

La mort de Cléopâtre par Giampetrino (vers 1530), Musée du Louvre, Paris. Wikimedia

Carthage futuriste

Au XXe siècle, le cinéma s’empare à son tour de la figure de Salammbô. Un film muet lui est consacré en 1925 par Pierre Marodon. En 1960, le péplum franco-italien Salammbô de Sergio Grieco s’achève sur un happy end en contradiction totale avec l’œuvre de Flaubert : condamné à mort, Mâtho est finalement sauvé par Hamilcar qui lui accorde la main de sa fille !

Plus étonnant encore, de 1981 à 1986, Philippe Druillet sort (aux éditions Glénat) les trois volumes de son adaptation graphique de Salammbô, d’abord publiée, à partir de 1978, dans le magazine Métal hurlant. Le monde carthaginois s’est métamorphosé en un étrange univers de science-fiction. Toujours un Ailleurs, mais cette fois non ressuscité du passé : la mythique Carthage est projetée dans le futur et sur une autre planète.

Mais, au fond, est-ce si différent ? Sous le masque de l’archéologie, la reconstitution flaubertienne était bien fantaisiste et excessive.

Dans un jeu vidéo tiré de la bande dessinée en 2003 (Salammbô, les périls de Carthage ; en anglais, Battle for Carthage), Salammbô sertie d’étonnants bijoux et revêtue d’extravagantes tenues futuristes demeure conforme à l’image de la femme exotique et sublime.

Salammbô sur la pochette du jeu Battle for Carthage, 2003. Mais où est donc passé son python ? Wikimedia

De Salammbô à Salma Hayek

Sans référence directe à Salammbô, des œuvres de la fin du XXe siècle ont ressuscité la figure érotique de la femme désirable associée à un serpent. Nastassja Kinski se fait photographier par Richard Avedon, en 1981, nue, un reptile enroulé autour de son corps.

L’œuvre, diffusée sous la forme de posters, connut un grand succès et fut souvent imitée.

En 1996, dans le film From Dusk till Dawn, réalisé par Robert Rodriguez (en français, Une Nuit en Enfer), Salma Hayek incarne une danseuse satanique qui tétanise Quentin Tarantino dans le rôle de Richie. De la même manière, l’apparition de la sublime Salammbô, dans les jardins d’Hamilcar, avait échauffé et subjugué l’esprit de Mathô. Quentin Tarantino, qui est aussi l’auteur du scénario, se serait-il inspiré de la Carthaginoise de Flaubert ?

Salma Hayek dans From Dusk till Dawn. Allociné

Christian-Georges Schwentzel a publié « Le Nombril d’Aphrodite, une histoire érotique de l’Antiquité », aux éditions Payot.

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