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Archives Journalières: 31/08/2021

Bonnes feuilles : « Frères de douleur. Récit d’un ethnologue en pèlerinage à Lourdes »

31 mardi Août 2021

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

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  1. Laurent Amiotte-SuchetSociologue, chargé de recherche, Haute école de santé Vaud (HESAV – HES-SO), Haute école spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO)
Haute école spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO)
AUF (Agence Universitaire de la Francophonie)
CC BY NDNous croyons à la libre circulation de l’information
Un groupe de pèlerins dans la grotte de Massabielle, à Lourdes, 2010. Laurent Amiotte-Suchet., Author provided

Au début des années 2000, l’auteur a choisi de participer à des pèlerinages à Lourdes pour mieux saisir, de l’intérieur, ce qui pouvait bien motiver ces hommes et ces femmes à effectuer un si long voyage pour réciter des chapelets devant une statue de pierre. Durant plusieurs années, il a côtoyé les pèlerins, accompagné les personnes malades, partagé la vie d’équipe des brancardiers et des hospitalières, assisté aux offices et aux réunions. Fidèle à la démarche ethnographique, il a consigné dans son journal de terrain tout ce qui lui était donné à voir et à entendre afin de mieux comprendre ce que vivent et partagent les pèlerins de Lourdes. Un jour, il est de service aux « piscines ». Extraits choisis.


Hasard du terrain, cet après-midi du 11 mai 2000 m’offre une expérimentation inédite à laquelle je n’étais guère préparé. Par je ne sais quel « miracle », Michel, traditionnellement responsable de l’équipe des nouveaux brancardiers, a obtenu l’autorisation inattendue d’emmener le groupe aux piscines. Nous allons être pour un temps enrôlés dans l’équipe qui encadre cet espace rituel si particulier. Cela n’a rien d’habituel, les brancardiers qui servent aux piscines appartiennent à différents pèlerinages et sont volontaires pour accomplir cette tâche durant toute leur semaine à Lourdes. Avoir la chance de servir aux piscines durant une journée est donc une expérience inhabituelle pour un groupe de nouveaux brancardiers […].

La pratique du bain demeure beaucoup moins fréquente que le fait de se rendre à la grotte ou de consommer l’eau des fontaines. Bien des pèlerins, pourtant familiers de Lourdes, ne s’y sont jamais rendus. Mais pour les autres, le sentiment d’avoir vécu un moment capital, combiné à l’impossibilité de traduire par des mots l’expérience vécue, est une dimension très présente dans les témoignages que j’ai déjà pu recueillir :

« En allant aux piscines et en ressortant, j’ai été bouleversée. J’en discutais avec les filles en sortant, enfin déjà en sortant on discutait plus parce qu’on était trop bouleversée, ce qui se passait en moi […], on est ressortie, on se reconnaissait plus. Mais après, on a pu en discuter, mais c’est indéfinissable, c’est quelque chose qui nous prend au fond de nous et… ça fait partie de Lourdes. » (Estelle)

Entrer dans le rituel

Nous quittons nos uniformes de brancardiers pour revêtir de longues blouses grises avant de pénétrer dans le bâtiment pour y rejoindre la zone masculine. Un groupe d’hommes nous accueille et après une rapide démonstration des gestes conventionnels, nous formons avec eux un cercle en nous tenant par les mains avant de réciter une courte prière. Dans la pièce exiguë où nous nous trouvons, entourés de quatre murs en béton sans ornement ni couleur, ce moment de prière collective prend une tout autre dimension. Me voici brusquement complice du rituel. En joignant nos mains, comme nous l’enseigne un brancardier, nous partageons alors, selon lui, la misère de ceux qui vont s’avancer, nous sommes liés à eux par un même espoir de mieux-être, quel que soit d’ailleurs le mieux-être que chacun peut attendre.

Nous nous préparons à devenir acteurs d’une démarche pèlerine en accompagnant les malades jusqu’au fond du bassin. Nous nous apprêtons à prendre place au sein d’un dispositif rituel, à être avec l’eau de la source (et un certain nombre d’hommes et d’objets) des médiateurs entre les baignés et l’absolu qu’ils convoitent. Les problèmes méthodologiques de la situation me viennent immédiatement à l’esprit : le chercheur peut-il participer activement au rite qu’il observe ? Dois-je demander à ne pas participer à l’expérience ? Dois-je dire à ces hommes avec qui je viens à peine de prier que je ne partage pas leurs convictions religieuses et souhaite seulement m’asseoir ici pour les regarder baigner les malades ?

Je ris intérieurement d’une telle idée tant elle me paraît tout à coup particulièrement inappropriée à l’instant présent. Comment pourrais-je demander à n’être que le spectateur passif et détaché d’un tel moment d’intimité où hommes et femmes, quelles que soient les blessures de leur corps ou de leur cœur, acceptent de se dénuder (au sens propre comme au sens figuré) face à des inconnus pour leur confier la responsabilité d’un accompagnement à si forte charge symbolique ? Là où les photographies sont interdites, pourrais-je révéler que, d’une certaine manière, je suis d’abord ici pour « voler » des images, des instants, des comportements ? Il me faut respecter mon terrain, même là où l’éthique m’invite au détachement. Il me faut vivre l’événement. […]

Premier baigneur

Me voici maintenant dans l’espace central des piscines. Il s’agit de baignoires en marbre gris, pourvues de marches latérales. Sur le bord de chaque bassin, une petite statuette mariale ainsi qu’une jarre d’eau de la grotte ont été disposées. Entre la baignoire et le rideau qui la sépare des vestiaires, un espace avec bancs et porte – manteaux permet de faire patienter un ou deux pèlerins afin qu’ils puissent s’avancer dès que le précédent a quitté le bassin. Notre équipe commencera par observer les habitués avant de participer pleinement au rituel.

Restant discrètement de côté, je regarde ces hommes presque nus traverser un par un le rideau quand leur tour est venu. Nous sommes huit dans cet espace restreint : moi et deux brancardiers de mon équipe, trois brancardiers servant chaque jour aux piscines et deux hommes nus venus se plonger dans le bassin. Un brancardier se saisit alors d’un pagne qu’il plonge dans le bassin, l’essore et vient s’accroupir devant le candidat au bain pour tendre le pagne devant lui, le protégeant ainsi des regards. L’homme retire son slip et se laisse envelopper la taille par le pagne. Le contact de l’humidité glacée sur la peau surprend notre premier baigneur. Deux brancardiers lui saisissent alors les poignets et avancent avec lui jusqu’au bassin où il descend prudemment.

Le bain d’un pèlerin dans les piscines de Lourdes. Sur les pas de Bernadette, Vic-en-Bigorre, Lestrade, 1990. Bordes Joseph, Lourdes, Fourni par l’auteur

À sa demande, nous l’accompagnons dans la récitation d’un « Je vous salue Marie ». La prière terminée, l’homme fait lentement son signe de croix, les yeux fermés. Les deux brancardiers inclinent alors le corps du pèlerin en arrière et ce dernier plonge tout entier dans l’eau froide du bassin. Dans une eau à 10-12 degrés, le saisissement est immédiat. L’homme se redresse vivement, visiblement secoué par la fraîcheur de l’eau. Sa tête est restée hors de l’eau. Un brancardier lui propose un verre d’eau de la grotte, mais l’homme répond par la négative et sort du bassin. On l’aide à retirer son pagne et il récupère ses premiers vêtements qu’il enfile sans se sécher. Quelque chose vient de s’accomplir pour lui. Il nous quitte pour mieux méditer cette expérience ineffable.

Etre brusquement extrêmement proche de chacun de ces inconnus

Le second candidat est déjà prêt. Il attend à son tour le pagne pour pouvoir s’avancer vers le bassin. Le rituel se reproduit alors, avec chaque fois la même simplicité. Durant une heure, j’assiste presque passivement à ces bains successifs. Malgré la monotonie de leur déroulement, l’expérience individuelle semble chaque fois particulièrement forte pour celui qui s’avance. Les pèlerins ont, avant ou après le bain, toutes sortes de demandes : méditer un instant en silence, réciter une prière, formuler à haute voix une intention, boire de l’eau, se laisser répandre de l’eau sur la tête, embrasser la statuette de la Vierge placée au bord du bassin… Mon tour vient alors de participer plus activement au rituel en aidant les fidèles à descendre dans le bassin. Accrocher le pagne autour de leur taille, leur parler, les regarder, les baigner… tout cela est pour moi particulièrement impressionnant, en raison de ce sentiment d’être brusquement extrêmement proche de chacun de ces inconnus et de la gêne occasionnée par les confidences si intimes qu’ils me font, alors que je les tiens par la main.

Soutenue par les chants qui nous parviennent de l’extérieur, toute notre équipe s’affaire à gérer les bains des pèlerins. Les corps s’enchaînent, des plus usés par le temps aux plus atteints par la maladie. Il nous faut parfois recourir à un brancard de sangles pour immerger un corps paralysé. Progressivement, le travail devient routinier et les automatismes s’installent. Sous le regard de la minuscule statuette de la Vierge, les pèlerins défilent, incessamment, livrant à haute voix une partie de leurs malheurs et confiant le reste dans un murmure.

Vivre ce rite comme ceux que nous avons baignés

Fin de l’après-midi. Les piscines ferment. Les derniers baigneurs nous quittent, aussi troublés que les premiers par ce qu’ils viennent de vivre. Je retire ma blouse, impatient de courir noter sur mon journal de terrain ces observations inattendues. Mais Michel compte aller plus loin. Nous voilà tous ensemble dans le bâtiment vide après ces intenses moments où nous avons soutenu, au sens propre du terme, des fidèles dans une démarche de foi. « Pourquoi ne pas profiter de ces instants pour nous baigner mutuellement les uns les autres ? » propose Michel.

Le petit groupe adhère immédiatement au projet. Nous sommes tous assez vigoureux pour descendre seuls dans le bassin, mais l’idée n’effleure personne. Il nous faut vivre ce rite comme ceux que nous avons baignés, en descendant dans le bassin soutenus par nos compagnons. Me voilà projeté aux frontières entre l’observation participante et la participation observante, dans une complicité inattendue avec mon objet, sans que j’aie réellement pu me préparer à cela. Deux hommes de mon équipe m’invitent à m’avancer. Après quelques secondes d’hésitation, je retire à mon tour mes vêtements pour expérimenter silencieusement un des éléments forts de la dévotion mariale à Notre-Dame de Lourdes. Moi aussi, le pagne me glace la peau, alors que mes pieds s’enfoncent dans l’eau du bassin.

Les talibans réduisent les femmes en esclavage : une réalité que le monde ne peut ignorer/././…

31 mardi Août 2021

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  1. Vrinda NarainAssociate Professor, Faculty of Law, Centre for Human Rights and Legal Pluralism; Max Bell School of Public Policy, McGill University

Déclaration d’intérêts

Vrinda Narain est membre du conseil d’administration de l’organisation Women Living Under Muslim Laws.

CC BY NDNous croyons à la libre circulation de l’information
Réunion de femmes à Kaboul
Rassemblement de femmes afghanes à Kaboul le 2 août 2021 pour dénoncer les violations des droits des femmes par les talibans. Sajjad Hussain/AFP

Après le retrait des forces américaines et otaniennes d’Afghanistan en juillet, les talibans ont rapidement pris le contrôle du pays. Le président a fui et le gouvernement est tombé.

Enhardis par leur succès, par le manque de résistance des forces afghanes et par la faible réaction internationale, les talibans se montrent de plus en plus violents. Pour les femmes afghanes, leur retour au pouvoir constitue une réalité terrifiante.

Début juillet, les dirigeants talibans qui venaient de prendre le contrôle des provinces de Badakhshan et de Takhar ont ordonné aux chefs religieux locaux de leur fournir une liste de filles de plus de 15 ans et de veuves de moins de 45 ans à « marier » avec des combattants talibans. On ne sait pas encore si les chefs religieux ont obtempéré.

Si ces mariages forcés ont lieu, les femmes et les jeunes filles seront emmenées au Waziristan (Pakistan) pour être rééduquées et converties à un « islam authentique ».https://www.youtube.com/embed/FLq9dVJgTnk?wmode=transparent&start=0

Cet ordre a effrayé les femmes et leurs familles vivant dans ces régions et les a forcées à fuir et à rejoindre les rangs des personnes déplacées à l’intérieur du pays. L’Afghanistan est en proie à un véritable désastre humanitaire : rien qu’au cours des trois derniers mois, 900 000 personnes ont été déplacées.

La brutalité du premier règne des talibans

Cette directive des talibans, de mauvais augure pour la suite des événements, rappelle ce qu’a été leur régime quand ils ont exercé le pouvoir en Afghanistan entre 1996 et 2001. Les femmes ont alors été privées de bon nombre des droits humains les plus élémentaires. Il leur a été interdit d’exercer un emploi et d’avoir accès à l’éducation. Elles ont été systématiquement contraintes de porter la burqa et il leur était impossible de sortir de chez elles sans être accompagnées d’un « tuteur » masculin, ou mahram.

Les talibans prétendent avoir évolué sur la question des droits des femmes ; mais leurs récentes actions, qui semblent attester de leur détermination à livrer des milliers de femmes à l’esclavage sexuel, montrent que ce n’est absolument pas le cas.https://www.youtube.com/embed/_n9ohBeJX9g?wmode=transparent&start=0

En outre, les talibans ont déjà annoncé leur intention de mettre fin à l’éducation des filles après l’âge de 12 ans, d’interdire aux femmes de travailler et de rétablir la loi exigeant que les femmes soient accompagnées d’un tuteur pour la moindre sortie hors de leur domicile.

Les progrès obtenus par les femmes afghanes au cours des vingt dernières années, notamment en matière d’éducation, d’emploi et de participation politique, sont gravement menacés.

La pratique consistant à offrir des « épouses » relève d’une stratégie visant à inciter les hommes à rejoindre les rangs des talibans. Il s’agit d’esclavage sexuel, et non de mariage. Or contraindre les femmes à l’esclavage sexuel sous le couvert du mariage constitue à la fois un crime de guerre et un crime contre l’humanité. L’article 27 de la Convention de Genève stipule :

« Les femmes seront spécialement protégées contre toute atteinte à leur honneur, et notamment contre le viol, la contrainte à la prostitution et tout attentat à leur pudeur. »

En 2008, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté la résolution 1820 qui fait observer que « le viol et d’autres formes de violence sexuelle peuvent constituer un crime de guerre, un crime contre l’humanité ou un élément constitutif du crime de génocide ». Elle reconnaît la violence sexuelle comme une tactique de guerre visant à humilier, dominer et instiller la peur chez les civils.

Comment réagir ?

L’ONU doit agir avec détermination pour empêcher de nouvelles atrocités contre les femmes en Afghanistan.

Je propose à la communauté internationale quatre actions politiques visant à instaurer une paix durable. Elles sont guidées par la résolution 1820 qui souligne l’importance de l’implication des femmes en tant que participantes égales au processus de paix et qui condamne toutes les formes de violence sexiste contre les civils dans les conflits armés :

  1. Appeler à un cessez-le-feu immédiat pour garantir que le processus de paix puisse se poursuivre de bonne foi.
  2. Veiller à ce que les droits des femmes – inscrits dans la Constitution afghane, la législation nationale et le droit international – soient respectés.
  3. Insister pour que les négociations futures se déroulent avec une participation significative des femmes afghanes. Lors des négociations entre le gouvernement Ghani et les talibans, il n’y avait que quatre femmes dans l’équipe du gouvernement afghan et aucune dans celle des talibans.
  4. La levée des sanctions contre les talibans doit être conditionnée à leur engagement à respecter les droits des femmes. L’Union européenne et les États-Unis, qui sont actuellement les principaux bailleurs de fonds de l’Afghanistan, doivent conditionner leur aide au respect des droits des femmes et à leur accès à l’éducation et à l’emploi.

Les femmes d’Afghanistan et de toute la région se féliciteraient des efforts que déploieraient les Nations unies et la communauté internationale pour faire en sorte que les personnes ayant survécu à des violences sexuelles bénéficient d’une protection égale au regard de la loi et d’un accès égal à la justice.

La lutte contre l’impunité des auteurs de violences sexuelles s’inscrit pleinement dans une approche globale visant à rechercher une paix durable, la justice et la réconciliation nationale en Afghanistan.

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