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Archives Journalières: 11/04/2022

Les résultats du premier tour : une stabilité apparente, une reconfiguration profonde

11 lundi Avr 2022

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

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Auteur

  1. Mathias BernardHistorien, Université Clermont Auvergne (UCA)

Déclaration d’intérêts

Mathias Bernard est vice président de l’Université Clermont-Auvergne.

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Annonce des résultats du premier tour de l’élection présidentielle affichant les deux candidats qualifiés pour le second tour, Emmanuel Macron (28,4%) et Marine Le Pen (23,2%) (estimations à 22h40). Lionel Bonaventure/AFP

Les résultats du premier tour des élections présidentielles de 2022 confirment, à première vue, les rapports de forces issus du précédent scrutin. Emmanuel Macron (LREM) et Marine Le Pen (RN) sont, comme en 2017, qualifiés pour le second tour – dans le même ordre qu’il y a cinq ans. Le même duel aura donc lieu au cours de deux élections présidentielles successives : cela n’est arrivé qu’une seule fois en France, avec Valéry Giscard d’Estaing (RPR) contre François Mitterrand (PS), qui a vu la victoire du premier en 1974 et du second en 1981.

Cette stabilité est en grande partie liée à la notoriété des principaux candidats, déjà présents il y a cinq ans. Ces candidats ont su fidéliser un socle électoral auquel se sont agrégés, au cours des dernières semaines, des électeurs qui ont fait prévaloir un vote utile, de préférence à un vote d’adhésion.

Des votes utiles

Emmanuel Macron progresse de près de quatre points par rapport à 2017, alors même qu’il a, au cours de son quinquennat puis lors de sa campagne présidentielle, abandonné la position d’équilibre entre droite et gauche qui avait assuré son succès initial pour adopter un discours qui le situe clairement au centre-droit.

Cette évolution lui a aliéné une fraction de ses électeurs venus de la gauche, mais a permis d’attirer une partie plus importante des électeurs du centre et de la droite – le très faible score de la candidate LR Valérie Pécresse (4,7 %) en témoigne.

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Marine Le Pen enregistre une progression presque comparable et obtient un score jamais atteint par le FN puis le RN à une élection présidentielle. Elle aussi a bénéficié d’un vote utile et a ainsi pu largement surclasser la candidature d’Éric Zemmour qui, après avoir menacé son leadership à l’extrême droite, a finalement parachevé sa stratégie de dédiabolisation engagée il y a dix ans : en occupant le créneau de la droite identitaire, le candidat de Reconquête a permis à Marine Le Pen de davantage investir les thématiques sociales qui ont favorisé sa progression au sein de l’électorat populaire. Tout comme Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon obtient, pour sa troisième tentative depuis 2012, son meilleur score à une élection présidentielle, bénéficiant lui aussi du soutien in extremis d’un électorat de la gauche modérée soucieux avant tout d’éviter un second tour opposant Emmanuel Macron à Marine Le Pen.

Une tripolarisation du champ politique français

Cette dynamique de vote utile, qui s’est enclenchée à peine un mois avant le scrutin, semble amplifier la restructuration du champ politique français autour de trois grands pôles, qui ont brutalement émergé au cours de l’élection de 2017.

Un pôle libéral, centriste et européen qui rassemble, à chaque élection nationale, un peu plus d’un quart des électeurs mais qui, grâce à la mécanique du scrutin majoritaire, parvient jusqu’à présent à dominer la vie politique. Un pôle populiste et identitaire, aujourd’hui dominé par Marine Le Pen et représenté par deux candidats dont le score cumulé (plus de 30 %) constitue un record historique pour l’extrême droite identitaire et populiste à une élection nationale en France : c’est donc ce pôle qui enregistre la plus forte progression au cours des cinq dernières années.

Et enfin un pôle de gauche radicale, dominé par La France insoumise, et qui, si l’on intègre les résultats des candidats communistes et trotskistes, rassemble un peu moins de 25 % des voix. Cette tripolarisation conduit à marginaliser les deux forces politiques qui, depuis les années 1970, structuraient la vie politique française.

Le déclin des partis traditionnels : un air de déjà vu

Avec moins de 2 % des voix, le Parti socialiste confirme un déclin qui, en 2017, pouvait apparaître comme simplement conjoncturel. Son évolution rappelle aujourd’hui celle du Parti radical au début de la Vᵉ République : ce parti qui avait dominé la gauche avait alors été victime de la bipolarisation du paysage politique enclenchée par De Gaulle et n’avait survécu que grâce à un important réseau d’élus, surtout présent (comme celui du PS aujourd’hui) dans le sud-ouest de la France.

Le déclin de la droite traditionnelle est l’un des autres faits marquants de cette élection, puisque la candidate du parti Les Républicains a divisé par quatre le score réalisé il y a cinq ans par son prédécesseur. Ce résultat prolonge l’échec enregistré par LR lors des européennes de 2019 et souligne l’étroitesse de l’espace politique désormais occupé par ce parti, coincé entre le centre-droit macronien et l’extrême droite populiste de Marine Le Pen.

Des évolutions importantes depuis 2017

Il faut donc se garder de voir dans les résultats de ce premier tour une répétition de l’élection de 2017. La stabilité apparente des rapports de forces masquent des évolutions importantes. La droitisation du paysage politique se poursuit. Elle se manifeste par l’irruption de la nouvelle droite identitaire d’Éric Zemmour, le repositionnement de l’offre politique proposée par Emmanuel Macron et la faible progression de Jean-Luc Mélenchon, qui ne compense pas l’affaiblissement du PS.

Les populismes continuent également leur progression, autour d’un discours qui, en cinq ans et sous l’effet d’un certain nombre de mouvements sociaux (les gilets jaunes notamment), s’est radicalisé : plus que jamais, la coupure entre peuple et élite se manifeste dans les urnes. Cette progression du populisme fragilise Emmanuel Macron, dont la position est moins favorable que ce qu’elle peut laisser paraître de prime abord.

Le président sortant obtient des scores comparables à certains de ses prédécesseurs qui n’ont pas été réélus pour un second mandat : Valéry Giscard d’Estaing en 1981 (28 % des voix), Nicolas Sarkozy en 2012 (27 % des voix). Il ne peut par ailleurs capter la volonté de changement qui avait en grande partie expliqué sa victoire il y a cinq ans. La campagne de l’entre-deux-tours mettra ainsi en jeu deux projets antagonistes, deux visions de la société mais aussi une tension entre le « dégagisme », hostile au président sortant, et l’appel au barrage contre l’extrême droite, qu’ont lancé une majorité de candidats battus au premier tour.

La guerre en Ukraine marque-t-elle un tournant pour la défense européenne ?

11 lundi Avr 2022

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Auteur

  1. Maxime LefebvreAssociate professor, ESCP Business School

Déclaration d’intérêts

Maxime Lefebvre ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d’une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n’a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.

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Pour l’instant, on est encore loin d’une véritable armée européenne. LeStudio/Shutterstock

Le Conseil européen a validé il y a quelques jours l’adoption d’une « boussole stratégique ». Il s’agit de l’un des grands acquis de la présidence française de l’Union européenne. Sous cette appellation un peu baroque, c’est la première fois que l’UE se dote de l’équivalent d’un Livre blanc sur la défense et la sécurité. La « boussole » comporte, d’une part, une analyse de l’environnement stratégique mondial et, de l’autre, une liste d’actions concrètes déclinées en quatre volets : agir, sécuriser, investir, coopérer.

Par « défense européenne », on entend tout d’abord la défense de l’Europe, la défense territoriale, la défense collective, contre une agression armée. Sur le Vieux Continent, une clause de défense collective unissait déjà les signataires du traité de Bruxelles de 1948, avant même la création de l’OTAN. Cette clause a ensuite été intégrée dans les traités européens par le traité de Lisbonne (2007), avec une formulation qui, prise à la lettre, serait bien plus engageante que les dispositions du Traité de l’Atlantique Nord : la clause de défense collective prévoit que les États membres « doivent aide et assistance par tous les moyens en leur pouvoir » à l’un d’entre eux qui serait l’objet d’une agression armée, tandis que l’article V du Traité de l’OTAN précise que chaque partie a la liberté de décider « telle action qu’elle jugera nécessaire » pour porter assistance à l’État agressé.

Dans le contexte de la guerre en Ukraine et d’une Europe qui veut parler le langage de la puissance, le temps de la défense européenne serait-il venu ? On pourrait le penser mais, à prendre un peu de recul, la « boussole » semble pourtant une évolution plutôt qu’une révolution.

Primat de l’OTAN

La clause de défense collective européenne reste très largement un engagement sans portée concrète à ce jour. Pendant toute la guerre froide, l’organisation portée par le traité de Bruxelles, l’Union de l’Europe occidentale (UEO), était une coquille vide qui avait délégué à l’OTAN sa mission de défense collective.

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Après sa disparition en 2010, le primat de l’OTAN n’a nullement été remis en question. L’article 42-7 du Traité sur l’Union européenne affirme en effet que la défense européenne doit rester conforme aux engagements pris dans l’OTAN « qui demeure, pour les États qui en sont membres, le fondement de leur défense collective et l’instance de sa mise en œuvre ».

Pour au moins les 21 des 27 membres de l’UE qui sont membres de l’OTAN, l’Europe de la défense n’assure donc pas la défense de l’Europe. Les traités disent clairement, d’ailleurs, que la politique de sécurité et de défense commune (PSDC) n’aboutira à une défense commune que lorsque « le Conseil européen, statuant à l’unanimité, en aura décidé ainsi » (article 42-2). Autrement dit, si l’Europe a une perspective de défense commune, elle n’a pas de défense commune autonome.

L’article 42-7 ne reste cependant pas totalement inconsistant. Il a été mis en œuvre une fois, au bénéfice de la France, après les attentats terroristes de 2015 à Paris, et a conduit de nombreux États membres à manifester leur appui aux opérations militaires françaises (contre Daech et au Sahel).

La boussole stratégique, de ce point de vue ne semble pas marquer de rupture. Elle rappelle explicitement l’engagement de l’article 42-7 et prévoit une préparation accrue de l’UE par des scénarios opérationnels. Ce n’est certes pas rien, mais elle rappelle aussi le primat de l’OTAN pour la défense collective.

Des propositions françaises restées sans réponse

Bien que le président français Emmanuel Macron ait fait de la défense la première clé de la souveraineté européenne dans son discours de la Sorbonne en 2017, aucun pays européen ne souhaite une défense européenne indépendante. Il ne faut donc pas se mentir : la crise actuelle à l’est de l’Europe renforce d’abord l’OTAN. C’est l’OTAN qui accroît sa présence militaire à l’est de l’Europe pour dissuader toute agression russe contre un pays membre de l’Alliance. C’est l’OTAN qui assure la protection de l’Europe par le parapluie nucléaire américain, alors que Vladimir Poutine joue dangereusement avec cette menace.

Emmanuel Macron avait évoqué la « mort cérébrale » de l’OTAN en 2019 ; il vient de convenir que l’Alliance avait subi un « électrochoc ». L’effectif des troupes américaines en Europe, qui était de 67 000 avant la crise, est repassé au-dessus de 100 000 (loin malgré tout de la guerre froide, où il était de 400 000).

Emmanuel Macron, au quartier général de l’OTAN à Bruxelles, le 24 mars. Thomas Coex/AFP

Des considérations sur l’arme atomique poussent le raisonnement dans la même direction. Le rôle des forces nucléaires européennes est reconnu au sein de l’OTAN depuis le sommet d’Ottawa de 1974, mais pas au sein de l’Union européenne. On n’en retrouve aucune trace dans la boussole stratégique, et les propositions d’Emmanuel Macron à ses partenaires européens d’ouvrir un dialogue sur le rôle de la dissuasion française sont restées sans réponse. La France est pourtant seule à pouvoir protéger l’UE à travers cette dissuasion maintenant que le Royaume-Uni en est sorti.

On notera aussi, pour être complet, que l’objectif assigné aux pays européens de consacrer 2 % de leur PIB à l’effort de défense a été adopté au sein de l’OTAN depuis 2014 (lors du sommet du pays de Galles), mais pas dans la boussole stratégique, officiellement parce qu’il n’y a pas de comptabilité uniformisée des dépenses de défense.

Autonomie d’action

Cela ne signifie pourtant pas que la politique européenne de défense n’existe pas. On relève une différence importante par rapport à la période de la guerre froide.

Depuis 1998 et la déclaration franco-britannique de Saint-Malo, l’UE s’est donné l’ambition de lancer des opérations militaires à l’extérieur. Depuis 2003, on recense plus de 30 opérations civiles et militaires, dont 18 en cours, avec une série de succès notables : retour à la paix en Bosnie, au Kosovo et en Macédoine, opérations ponctuelles en Afrique, supervision du retrait russe de Géorgie en 2008, ou encore l’opération Atalante qui lutte contre la piraterie maritime au large de la Corne de l’Afrique depuis 2008.

La boussole stratégique a décidé de renforcer cette capacité autonome d’action en créant une force européenne de déploiement rapide de 5 000 hommes, et en développant la capacité de planification militaire européenne créée en 2017. On revient de loin quand on se souvient qu’en 1999, toute ambition de structure de planification militaire européenne était rejetée au nom du principe de « non-duplication » avec l’OTAN.

Ce sont des progrès importants, mais il faut les nuancer. L’essentiel des opérations européennes ont été civiles ou civilo-militaires, comme des missions d’observation, de formation, de conseil, de renforcement des capacités sécuritaires. Bien que les traités et les textes politiques lui en fixent l’ambition, l’UE n’a jamais conduit d’opérations de combat, en tout cas pas du calibre de celles de l’OTAN.

Finie la « belle au bois dormant » ?

Un autre niveau de la montée en puissance de la politique européenne de défense concerne les moyens. Les avancées ont été considérables depuis quelques années. La Commission européenne a commencé en 2016 à dépenser de l’argent européen pour des projets de recherche militaire et de développement capacitaire menés en commun. Sur la période 2021-2027, le nouveau Fonds européen de défense est doté de 8 milliards d’euros : c’est peu par rapport à la somme des budgets militaires des États membres (200 milliards par an), mais ce n’est pas négligeable par rapport aux dépenses d’équipement. Le char et l’avion de combat du futur, le drone européen de combat et la dimension militaire de la politique spatiale sont mentionnés dans la boussole stratégique.

L’UE apporte aussi sa contribution pour répondre aux « attaques hybrides », comme les cyberattaques, les campagnes de désinformation, l’ingérence électorale, la coercition économique, ou l’instrumentalisation des migrations. Dans tous ces domaines, l’UE utilise sa plus-value qui est de pouvoir combiner les moyens civils et militaires et de pouvoir mobiliser des financements communs du budget européen.

Le renforcement de l’autonomie stratégique européenne concerne aussi, depuis au moins la pandémie de Covid en 2020, le renforcement des capacités industrielles et technologiques européennes. Qu’il s’agisse de la défense, de l’espace, de l’énergie, de la santé, du numérique, de l’électronique, des matières premières, ou même du secteur agroalimentaire, cette autonomie stratégique accrue renforce aussi la sécurité et la défense de l’Europe.

L’opération Atalante visant à lutter contre la piraterie au large de la Somalie est une opération européenne. Stéphane De Sakutin/AFP

Si l’Europe n’a donc pas encore fixé l’objectif d’une défense collective indépendante, elle se trouve de plus en plus présente sur les questions de sécurité et de défense. C’est une très grande différence avec la situation qui existait durant la guerre froide où, malgré quelques projets communs d’armement, la Communauté européenne n’était qu’un marché et l’UEO qu’une « belle au bois dormant ».

Deux éléments manquent principalement pour poursuivre les avancées : affirmer une volonté politique européenne commune, ce qui reste un défi à 27, et mettre en œuvre concrètement le renforcement des moyens et capacités. À défaut d’avoir accouché d’une défense européenne et d’une armée européenne que les citoyens appellent de leurs vœux dans tous les sondages, la boussole stratégique est une étape importante sur la voie d’une Europe qui « assume davantage la responsabilité de sa propre sécurité ».

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