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Archives Journalières: 29/08/2022

L’inquiétante rhétorique bestialisante de Vladimir Poutine

29 lundi Août 2022

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

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auteur

  1. Laurent Bègue-ShanklandProfesseur de psychologie sociale, membre de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA). Dernier ouvrage : Face aux animaux. Nos émotions, nos préjugés, nos ambivalences. Odile Jacob, 2022, Université Grenoble Alpes (UGA)

Déclaration d’intérêts

Laurent Bègue-Shankland a reçu des financements de l’Institut universitaire de France

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Vladimir Poutine lors de sa conférence de presse annuelle en décembre 2021. Natalia Kolesnikova/AFP

« Tout peuple, et en particulier le peuple russe, est capable de distinguer les vrais patriotes de la racaille et des traîtres, et de recracher ces derniers comme un moucheron qui aurait atterri dans leur bouche. Je suis convaincu que cette purification naturelle et nécessaire de la société ne fera que renforcer notre pays. »

Le discours prononcé le 16 mars dernier par Vladimir Poutine avait une tonalité peu rassurante. On pouvait y déceler un inquiétant écho au discours stalinien des années 1930, dans lequel ceux que le régime avait choisi de persécuter étaient comparés à des reptiles et à des chiens enragés. Dans la récente diatribe de Poutine, l’évocation du moucheron cherche à minimiser avec mépris la menace représentée par l’adversaire en le destituant de toute dignité.

Le discours de Poutine est préoccupant, car l’histoire humaine suggère que le registre bestialisant est la basse continue rhétorique des massacres et des génocides. Dans Race et Histoire, quelques années après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Claude Lévi-Strauss rappelait que le passé de l’humanité surabondait de sombres exemples montrant que pour désigner les « autres » de manière à les avilir, tous les « noms d’oiseaux » étaient convoqués : œuf de pou, singe, chien, cochon, rat, parasite, insecte… L’origine même du mot barbare, en français, renvoie d’ailleurs aux gazouillis des oiseaux, opposés à la valeur signifiante du langage humain.

Depuis le monde grec et romain, qui animalisait déjà les catégories asservies, jusqu’aux génocides du XXe siècle qui en ont apporté l’illustration à une échelle terrifiante, ces logiques s’exacerbent durant les périodes de conflits entre groupes. L’historien Éric Baratay le constate :

« Lutte entre païens et chrétiens dans l’Empire romain, entre chrétiens et hérétiques au XIIe siècle, sorciers aux XV-XVIe siècle, etc. À partir de la Renaissance, le procédé prend une dimension nouvelle avec l’imprimerie qui ajoute le livre et la gravure au discours oral. Le XIXe siècle est aussi un moment d’apogée en raison de fortes tensions politiques, nationalistes, sociales, et de l’essor d’instruments médiatiques (journaux, affiches…) inégalés jusqu’alors. »

Déshumaniser un groupe en l’animalisant

Animaliser (ou bestialiser) consiste à répudier l’humanité d’un individu ou d’un groupe en leur assignant des traits associés à des animaux. Le discours raciste fait fréquemment appel à cette rhétorique. C’est ce que montre une série d’études menées par un chercheur de l’Université Northwestern, qui a consisté à demander à des volontaires d’attribuer un « degré d’évolution » (du singe à l’humain) à chaque groupe en positionnant un curseur sur une ligne pour exprimer leurs jugements.

Dans une recherche qui employait cette méthode auprès d’Américains, les participants jugeaient les Coréens du Sud, les Chinois et les immigrés mexicains comme moins « évolués ». Plus les participants déshumanisaient les Arabes, plus ils s’opposaient à leur accueil dans leur pays, ou toléraient qu’ils subissent des injustices professionnelles ou policières flagrantes, voire la torture. Dans une autre étude, des participants américains que l’on informait durant une expérience que leurs compatriotes étaient jugés moins évolués par des Arabes avaient ensuite tendance à exprimer en retour un jugement plus négatif à l’encontre de ces derniers.

L’une des tâches de l’histoire, selon Éric Baratay, serait de montrer dans quelle mesure le recours aux représentations bestialisantes décline lorsque les tensions entre les groupes s’atténuent. En France, cela s’est produit -dans la seconde moitié du XXᵉ siècle, quand le nationalisme et l’antisémitisme ont diminué après avoir atteint leur apogée dans la première moitié.

Mais la déshumanisation ne disparaît pas pour autant, et continue à fluctuer selon les circonstances nationales. Ainsi, après un attentat commis aux États-Unis (une explosion qui a fait trois victimes et 140 blessés en 2013 lors du marathon de Boston), la déshumanisation des Arabes s’y est intensifiée même si les auteurs étaient Tchétchènes. À l’inverse, lorsque des groupes d’origine étrangère sont impliqués dans des interactions constructives, la déshumanisation à leur égard décline.

Dire d’un individu ou d’un groupe qu’il est un animal peut-il également favoriser des comportements préjudiciables ? Cette idée a été formulée par le philosophe Theodore Adorno, théoricien des fondements psychologiques du fascisme et qui, dans Minima Moralia, estimait que

« l’affirmation récurrente que les sauvages, les Noirs, les Japonais ressemblent à des animaux, ou à des singes, contient déjà la clé du pogrom ».

Bestialisation au laboratoire

Une recherche réalisée à l’Université Stanford a mis à l’épreuve cette intuition.

Des participants ont été recrutés pour former des équipes de trois « superviseurs » dont le rôle était d’observer les prises de décision collective. Ceux-ci entendaient les échanges verbaux des membres du groupe étudié se trouvant dans une autre pièce. À la fin de chaque séquence de prise de décision, lorsqu’une erreur était constatée (les erreurs étaient en réalité planifiées à l’avance par les chercheurs, il n’y avait pas d’équipe prenant des décisions, mais des enregistrements qui permettaient de le faire croire), les « superviseurs » devaient administrer un choc électrique d’une intensité croissante à tous les membres du groupe après une mauvaise performance.

Alors qu’ils étaient installés pour l’étude, les « superviseurs » entendaient un échange par interphone entre l’assistant de recherche et un chercheur : l’assistant affirmait soit que les membres de ce groupe semblaient « pleins d’humanité », soit au contraire qu’ils étaient une équipe « d’animaux ». Dans une dernière condition (neutre), aucun jugement n’était exprimé à propos du groupe.

Les résultats ont été conformes à l’hypothèse d’Adorno : au fil des sessions, les participants ayant été désignés comme des « animaux » devenaient les cibles de chocs électriques de plus en plus intenses, et ceux qui étaient décrits favorablement recevaient les chocs les plus faibles possible, les neutres se trouvant au milieu.

Animaliser des personnes s’apparente donc à une altération de leur valeur morale et peut faciliter la perpétration de traitements violents ou irrespectueux qui sont généralement réservés à la sous-catégorie morale que forment encore aujourd’hui les animaux dans la pensée ordinaire. L’existence d’une frontière entre l’humanité et le monde animal se retourne ainsi contre l’humanité elle-même, qui la reporte sur les groupes qu’elle accable.

Comment la culture peut redynamiser les territoires de montagne

29 lundi Août 2022

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auteurs

  1. Véronique Favre-BontéProfesseur des Universités en Sciences de Gestion, Université Savoie Mont Blanc
  2. Benoît RégentMCF Sciences de Gestion, Université Savoie Mont Blanc
  3. Marie Da FonsecaInnovation, Université de Perpignan

Déclaration d’intérêts

Les auteurs ne travaillent pas, ne conseillent pas, ne possèdent pas de parts, ne reçoivent pas de fonds d’une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n’ont déclaré aucune autre affiliation que leur organisme de recherche.

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Oeuvre de la VIAPAC au Col de l’Arche, David RENAUD, Table relief représentant la vallée autour du col de l’arche.

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La culture occupe une place croissante dans les Plans de Développement Economique et Social de l’Unesco et les innovations de produits et de services sont au cœur des réflexions territoriales et nationales.

Depuis plusieurs décennies, un grand nombre de territoires s’appuie sur le développement de la culture comme un outil de développement territorial. C’est le cas de nombreuses villes comme Liverpool en Angleterre, Bilbao en Espagne ou encore Philadelphie et Baltimore aux États-Unis. Ces villes se sont appuyées sur le développement de la culture pour faire face à la désindustrialisation, à une croissance démographique ralentie ou encore à une image défavorable

Oeuvre Horizons Art-Nature, Edition 2015, Massif du Sancy. source, Fourni par l’auteur

La culture apparaît comme levier pertinent de redynamisation et de renforcement de l’attractivité territoriale et touristique. Par exemple, aujourd’hui la région métropolitaine du « Grand Bilbao » abrite la moitié de la population et de l’activité économique du Pays basque, se classant ainsi parmi les régions européennes les plus compétitives, innovantes et productives (PIB par habitant supérieur de 30 % à la moyenne de l’Union européenne).

Ce modèle de développement par la culture pour pallier à un déficit d’attractivité touristique inspire de plus en plus de politiques de développement territorial. En France, dans le massif du Sancy, le développement du festival Horizons Art Nature en est un exemple, tout comme la VIAPAC qui relie les villes de Digne-les-Bains (en France) à Caraglio (en Italie), grâce aux œuvres de douze artistes contemporains. Cependant, le modèle de développement de la culture sur les territoires urbains est difficilement transposable aux territoires ruraux et de montagne dont les spécificités vont imposer des modèles adaptés.

[Plus de 80 000 lecteurs font confiance à la newsletter de The Conversation pour mieux comprendre les grands enjeux du monde. Abonnez-vous aujourd’hui]

Les données de notre étude ont été recueillies grâce à des observations sur les deux terrains et des discussions avec les habitants et touristes. Des entretiens ont également été menés au cours de l’été 2018 auprès d’acteurs institutionnels et économiques en charge d’un PCT sur un territoire de montagne. Nous avons ensuite suivi les deux PCT (en 2019 et 20) pour nous assurer d’une certaine stabilité dans le temps des observations faites en 2018 (notamment sur la partie « Retombées sur le territoire »).

La spécificité des territoires de montagne

Les territoires de montagne ont une saisonnalité touristique marquée et sont très peu reconnus comme des destinations culturelles. Or pour être attractifs, les territoires doivent développer une offre culturelle qui valorise le paysage et le patrimoine local, ainsi que l’histoire et les spécificités du territoire, tout en intégrant des activités sportives, de nature, etc. D’autant que dans le cas de la montagne, le tissu culturel local est souvent très riche : fêtes de village à caractère thématique, festivals locaux marqués par des savoir-faire ancestraux, écomusée basé sur des ressources naturelles, etc. Il est crucial de s’appuyer sur cette richesse et de favoriser les partenariats avec les associations et entreprises locales afin d’ancrer le projet culturel sur le territoire.

Oeuvre de la VIAPAC, Village D’Aisone, Italie, Paolo GRASSINO, Incursione, Sculpture en accès libre. source, Fourni par l’auteur

Toutefois, si la culture peut devenir un atout dans le jeu de la mondialisation et permettre au territoire de se différencier durablement, il apparaît essentiel de déterminer d’une part les éléments clés des projets culturels de territoire et d’autre part de construire des outils et méthodes pour accompagner leur gestion.

Valoriser les ressources territoriales

Les spécificités des territoires ruraux de montagne, comme le relief, la pente et le climat difficile deviennent à l’aune du nouveau système des ressources potentielles qui, si elles sont convenablement valorisées, peuvent devenir une source de dynamisme, de richesse et d’inspiration pour la création artistique. À titre d’illustration, pour la VIAPAC, les ressources différenciantes sont les spécificités géologiques du territoire et pour le festival HAN, l’abondance des reliefs volcaniques et les spécificités de la flore et de la faune de ses zones cairns.

Dans le cadre des événements culturels, la valorisation de ces ressources territoriales apparaît comme un élément fédérateur. En effet, les habitants interrogés sont devenus les premiers ambassadeurs du projet car ils voyaient leur territoire mis en lumière. Ils se sont alors rapprochés du projet et leur participation est alors devenue primordiale dans la formation de relais d’informations.

Pour le directeur de l’association Marcovaldo : « l’artiste disait à la population ce qu’il allait faire et ce dont il avait besoin comme informations et comme participation, et la population se mettait en ordre de marche ». Enfin, dans un effet boule de neige, cette valorisation du territoire et cette participation des habitants favorisaient la participation des acteurs privés qui à leur tour souhaitaient investir et développer de nouveaux produits.

Oeuvre de la VIAPAC au Col de l’Arche, David RENAUD, Table relief représentant la vallée autour du col de l’arche. source, Fourni par l’auteur

Dans les deux cas étudiés, on remarque que combiner le projet culturel au sport, à l’industrie, au patrimoine permet d’une part d’attirer des publics qui ne sont pas nécessairement adeptes des activités culturelles et d’autre part de différencier l’offre tout en motivant les populations locales.

Faire participer les populations locales

La seconde clé repose sur la gestion démocratique du projet. Sur les territoires ruraux comme ailleurs, une gouvernance démocratique des PCT favorise leur réussite.

La gestion démocratique du projet implique d’accorder à l’ensemble des parties prenantes le même pouvoir. Autrement dit, adopter des modalités de gouvernance démocratique implique de favoriser la participation des citoyens auxquels on reconnaît la capacité de faire des choix en matière de politique publique et de mobiliser des outils favorisant la participation au débat et à la décision publique.

Cela suppose de créer des instances et d’instaurer des règles de gouvernance pluralistes et participatives qui associent à la prise de décision l’ensemble des acteurs qui sont ou peuvent être affectés par la réalisation du projet. Toutefois, la gestion démocratique est limitée par la volonté des acteurs à s’engager et à participer au projet, ce qui peut faire défaut dans certains cas.

L’appropriation du projet apparaît comme la seule source de légitimation des PCT ruraux. En effet, là où, sur un territoire urbain, un leadership détenu par des experts de la culture apparaît comme légitime, ce n’est pas le cas sur un territoire de montagne. Ainsi l’accès limité à la culture en zone rurale et quelques fois la non-compréhension de l’art conceptuel peuvent provoquer des réticences et réactions négatives chez les habitants des territoires de montagne. La stratégie d’inclusion des populations est donc primordiale. Par exemple, dans la VIAPAC ou HAN, les producteurs agricoles locaux sont invités à venir vendre leur production et à en faire la promotion lors des évènements organisés dans le cadre du projet.

Croiser les activités et mesurer les retombées

Il s’agit également de croiser les activités culturelles avec les autres activités du territoire (agriculture, sport, industrie, tourisme, etc.). Mêler les différents publics peut non seulement permettre de structurer une offre touristique plus complémentaire, mais aussi créer une dynamique pouvant donner naissance à la création d’activités novatrices.

Enfin, la dernière clé -et pas la moindre –, la valorisation des retombées de l’offre constituée dans le cadre du PCT, apparaît comme un élément primordial pour la pérennisation de l’offre. En effet, le manque d’évaluation des impacts réels du projet pour le territoire contribue à renforcer les interrogations des acteurs du territoire sur la légitimité du projet. L’absence d’outils de mesure des impacts complique le renouvellement des financements et représente donc un frein important à la pérennisation de l’offre constituée dans le cadre d’un PCT.

Ces outils d’évaluation sont habituellement peu présents dans les politiques culturelles et surtout rarement mis en place dès le départ du projet. Pour y faire face, il est recommandé d’établir en amont une liste d’indicateurs pour l’évaluation de l’offre. Cette liste doit être coconstruite avec l’ensemble des parties prenantes du territoire (publique, privée et civile).

Les principaux résultats de nos études montrent l’importance d’une gouvernance démocratique et participative du service public avec une vision innovante de la culture associée à un nouveau modèle économique. L’appropriation et la valorisation du territoire par les artistes permettent de développer une culture différenciante et facilitent son appropriation par les populations locales. De même, le croisement des activités du territoire avec les activités culturelles permet de mobiliser de nouveaux réseaux de publics.

Si le rôle de la culture comme facteur d’innovation et d’attractivité d’un territoire est souvent mis en exergue dans les articles scientifiques et les rapports professionnels, les dynamiques à l’œuvre tout au long du développement des projets de territoire, bien que primordiales ne sont pas suffisamment explicitées. Ce sujet mérite plus que jamais toute l’attention des managers territoriaux s’ils souhaitent réinventer leurs territoires de montagne !

Pour en savoir plus, lisez Favre-Bonté, V., Da Fonseca, M., & Régent, B. (2022). Entrepreneurship and Territorial Cultural Projects: Towards a Development of Territorial Effectuation Concept. Revue de l’Entrepreneuriat. Disponible auprès des auteurs.

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