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Archives Journalières: 31/10/2022

Ces comédies de Molière qu’on étudie encore et toujours à l’école/

31 lundi Oct 2022

Posted by mirmandepatrimoines in Uncategorized

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  1. Isabelle Calleja-RoqueChercheuse en didactique de la littérature, Université Grenoble Alpes (UGA)

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Une scène du Bourgeois Gentilhomme, par William Powell Frith WilPublic domain, via Wikimedia Commons

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« Au voleur ! Au voleur ! À l’assassin ! Au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent » : composée en 1668, la célèbre tirade de L’Avare résonne encore dans des théâtres du monde entier. Et dans les classes des collèges.

Dans les manuels scolaires du XXIe siècle, Molière est en effet toujours très présent, et les pièces qu’on fait lire aux élèves demeurent en grande partie celles qui étaient étudiées par les générations précédentes. Au-delà de L’Avare, les parents retrouvent ainsi dans les classeurs de leurs enfants collégiens des cours sur Les Fourberies de Scapin, Le Médecin malgré lui, Le Malade imaginaire, ou encore Le Bourgeois gentilhomme pour le collège.

Au lycée, ce sont plutôt des textes de L’École des femmes, Dom Juan, Le Misanthrope, ou du Tartuffe qui sont proposés. Pourquoi étudie-t-on encore et toujours ces comédies en cours de lettres ? Retour sur la scolarisation de ces comédies et son histoire.

Un corpus assez stable

Depuis les premiers programmes scolaires, rédigés en 1803, Molière est présenté comme une figure incontournable de la littérature française. Jusqu’en 1880, seules trois pièces y sont présentées : Le Misanthrope, L’Avare et Les Femmes savantes et leur étude, de 1880 à la fin du siècle, se renforce. Mais, c’est aussi au cours de cette période, alors qu’en 1880, Jules Ferry est au pouvoir, que le français comme discipline se développe au lycée.


À lire aussi : Comment l’école a façonné notre image de Molière


Dans ce cadre, le panel d’œuvres de Molière pris en considération s’ouvre de façon manifeste. Trois nouvelles comédies entrent alors dans le répertoire des classes : Le Tartuffe, Le Malade imaginaire et Le Bourgeois gentilhomme. En 1900, le corpus canonique des œuvres de Molière est donc constitué de six pièces. Trois d’entre elles sont manifestement réservées aux grandes classes : Le Misanthrope, Le Tartuffe et Les Femmes savantes. Les trois autres sont les comédies que l’école républicaine estime être les mieux adaptées à la formation des jeunes élèves.

Si ce n’est l’introduction des Précieuses ridicules, en 1941, sous le gouvernement de l’État français, c’est surtout dans le dernier quart du XXe siècle que le corpus va s’étendre à de nouvelles pièces. Cette ouverture qui débute à la fin des années 1970, peut certainement être mise en lien avec l’impact que le film Molière d’Ariane Mnouchkine, sorti sur les écrans en 1978, va avoir sur le grand public.Extrait du Molière d’Ariane Mnouchkine (Théâtre du Soleil).

La nouveauté réside d’abord dans l’introduction de la farce dans les petites classes du collège. En 1977, Le Médecin malgré lui et Les Fourberies de Scapin entrent respectivement en sixième et en cinquième. Les textes officiels de 2008 confirment l’ouverture du corpus farcesque avec l’apparition de nouveaux titres en classe de sixième, comme Le Médecin volant, Le Sicilien ou l’Amour peintre, L’Amour médecin.

En ce qui concerne le lycée, les programmes de 1987 introduisent L’École des femmes. Parmi les pièces étudiées actuellement, seule Dom Juan n’a jamais été officiellement inscrite aux programmes alors qu’elle recueille tous les suffrages des auteurs des manuels du second cycle depuis les années 1980. Longtemps mise au purgatoire, elle est aujourd’hui l’objet de toutes les attentions.

Relecture des personnages

Qu’en est-il de la fortune de ces comédies ? Leur mobilisation est-elle la même au fur et à mesure que les années passent ? Si l’on excepte Les Femmes savantes, les autres comédies ne cessent d’être remises en avant dans les manuels. Seule cette pièce, victime d’une lecture axiologique trop restrictive, témoigne d’un retour de fortune. Son héroïne Henriette, considérée par l’école républicaine comme l’égérie de la femme française, focalise pendant des décennies toutes les lectures et l’exploitation de la pièce se sclérose dans cette image de la femme idéale.

La comédie ne résistera pas à la révolution féministe des années 1980 détrônée par l’ingénue Agnès de L’École des femmes, plus en phase avec les valeurs d’une société qui prône l’égalité des sexes. La disparition des Femmes savantes dans les manuels témoigne ainsi du lien étroit qui unit la littérature scolaire à la société. Elle reflète les changements sociaux qu’opère le dernier quart du XXe siècle.

Les textes littéraires ne sont désormais plus considérés comme les garants d’une éducation morale ; ils s’inscrivent plutôt dans une tradition humaniste, une culture ouverte, libératrice, qui se doit d’être le reflet de la société de son temps.

Le Malade imaginaire vu par Honoré Daumier. Philadelphia Museum of Art, Public domain, via Wikimedia

En ce qui concerne l’analyse des pièces, elle varie peu au cours des temps. C’est toujours en tant que critique sociale et/ou morale qu’une comédie de Molière est appréhendée. On constate aussi que les ouvrages scolaires ont souvent modélisé la lecture qui en est faite. Ainsi, les anthologies ont fait du Bourgeois gentilhomme l’archétype de la comédie-ballet et du Médecin malgré lui celui de la satire de la médecine.

En règle générale, ce sont toujours les mêmes morceaux choisis qui sont sélectionnés, et ce, depuis plus d’un siècle. Par exemple, c’est toujours la première scène de l’acte I du Misanthrope qui constitue le morceau privilégié des anthologies du second cycle pour illustrer les caractéristiques de la scène d’exposition.

C’est surtout dans l’approche du personnage et non dans la lecture globale de la pièce que l’on peut constater des évolutions. À chaque époque correspond sa vision des « héros » moliéresques.

Ainsi, Harpagon est exploité pendant longtemps comme un contre-exemple à proposer à la jeunesse pour ancrer les sacro-saintes valeurs de la famille. Jusqu’au milieu du XXe siècle, dans une perspective axiologique, c’est son côté odieux et inquiétant qui intéresse les auteurs des manuels. La lecture s’inverse ensuite en donnant à lire avant tout le personnage comme un rôle comique.

L’exemple de Dom Juan est, lui aussi, très révélateur. Jusque dans les années 1970, on le stigmatise en contre-exemple et on condamne le « grand méchant homme ». À partir des années 1980, la tendance s’inverse et les manuels interrogent la complexité du personnage qui incarne la volonté de puissance de l’être humain, un désir forcené et désabusé de liberté qui fascine.

L’angle de la représentation théâtrale

La modification du regard institutionnel sur la visée de l’enseignement de la littérature à l’école n’est cependant pas la seule explication à cette modification du point de vue sur l’analyse des personnages. Elle va de pair avec l’importance accrue, depuis le début du XXIe siècle, de l’étude du théâtre en lien avec la représentation.« L’Avare » à la Comédie Française, en 2000 (INA Culture).

C’est l’intérêt de plus en plus croissant porté au travail du plateau qui permet le renouvellement dans les manuels de la lecture du personnage moliéresque. En effet, c’est souvent dans la confrontation des mises en scène d’une pièce à différentes époques que se situe la richesse de l’analyse d’une comédie de Molière. Cette constatation illustre le fait qu’aujourd’hui, la lecture scolaire d’une pièce de Molière ne peut être dissociée de ce qui en fait une œuvre théâtrale.

La lecture du théâtre de Molière passe toujours par le prisme du penseur par le rire mais l’image du dramaturge est celle d’un artiste complet. Aux côtés de mises en scène classiques, on montre aux élèves des choix scénographiques qui transposent les comédies de Molière dans un autre univers que celui de sa création initiale. Par ces photographies, le texte de Molière entre en résonance avec le monde d’aujourd’hui.

Ainsi, dans les manuels, depuis plus d’un siècle, les mêmes comédies demeurent toujours très présentes ; mais, elles ne peuvent être accessibles à la jeunesse que si elles sont actualisées par des photographies de mises en scène qui permettent aux adolescents de comprendre que la lecture de Molière est toujours d’actualité parce qu’il nous parle de problèmes qui nous concernent encore.

Décentralisation : la gouvernance des collectivités locales est-elle assez fiable ?

31 lundi Oct 2022

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  1. Michel AlbouyProfesseur émérite de finance, Grenoble École de Management (GEM)

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Michel Albouy ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d’une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n’a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.

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Mairie de Serres-Castet, dans les Pyrénées-Atlantiques
En juillet dernier, le Sénat a présenté un rapport préconisant d’élargir les compétences des régions, départements et communes (Ici, mairie de Serres-Castet, dans les Pyrénées-Atlantiques). Marcel Roblin/Wikimedia commons, CC BY-SA

La cause semble entendue : il faut décentraliser la République ! C’est ainsi que Gérard Larcher, le président du Sénat, a déclaré « Le temps de l’hypercentralisation est révolu » le 2 juillet 2022 lors de la présentation d’un rapport regroupant 50 propositions « pour le plein exercice des libertés locales » élaboré par tous les groupes politiques du Sénat. C’est dire si la décentralisation est appelée des vœux de tous les élus représentant les collectivités locales.

Pour le président du Sénat, la forte abstention des dernières élections municipales relève d’un « mal plus profond et plus ancien » :

« Nos compatriotes réclament moins de discours, moins de bureaucratie, plus de proximité […] Seul un nouvel équilibre des pouvoirs entre l’État et les collectivités territoriales me semble permettre de restaurer la confiance et de donner un nouvel élan à notre pays […]. Nous voulons donner aux collectivités la pleine et entière responsabilité de compétences qu’elles nous paraissent pouvoir mieux exercer que l’État, parce qu’elles sont en proximité, parce que leur exercice pourra être plus souple et plus réactif. »

L’idée est donc de donner aux collectivités de nouvelles compétences concernant l’emploi, la santé et l’écologie. Pourquoi pas ? Mais avant de valider un tel constat (qui reste à démontrer) et de telles demandes, il convient de s’interroger sur la gouvernance des collectivités locales. Dans quelle mesure cette gouvernance est-elle exemplaire ? Dans quelle mesure est-elle mieux à même que l’État d’assurer ces nouvelles missions et surtout dans quelle mesure est-elle est plus démocratique ?

Une gouvernance bien différente des entreprises

Bien sûr, les collectivités locales, et au premier chef les communes, sont en proximité avec la population. Mais si cela est vrai des communes, est-ce le cas des départements et de régions ? On peut en douter. Pour la plupart de nos concitoyens, les compétences des départements et des régions restent floues. C’est d’ailleurs pourquoi les électeurs votent davantage pour les municipales que pour les élections régionales ou législatives.

Si les rapports en faveur de plus de décentralisation sont nombreux, rares sont ceux qui s’interrogent sur la gouvernance effective des collectivités locales. Alors que l’exécutif de l’État doit composer avec l’Assemblée nationale et le Sénat pour valider ses propositions de loi, rien de tel avec un exécutif régional, départemental ou municipal. Il leur suffit de faire approuver par leur majorité au sein de leurs conseils les délibérations qu’ils veulent faire appliquer.

Le cas des communes est particulièrement exemplaire. Le système électoral pour les communes a été construit afin de donner à la liste gagnante sortie des urnes une solide majorité de façon à assurer la stabilité de l’exécutif local. C’est ainsi que, dans les communes de plus de 1000 habitants, la liste gagnante obtient 50 % des sièges des conseillers municipaux et que le reste des sièges est réparti au prorata des voix obtenues par toutes les listes. Concrètement, si au second tour de l’élection il ne reste que deux listes, la liste gagnante qui a obtenu, par exemple 60 % des voix, rafle 50 % des sièges plus 60 % des sièges restants, soit au total 80 % (50 % + 30 %). La minorité s’en sort avec 20 % alors qu’elle avait obtenu 40 % des suffrages. C’est donc une forte distorsion dans la représentativité des élus municipaux qui va s’instaurer.

Ainsi, tant que le maire a la confiance de sa majorité il va pouvoir faire voter toutes les délibérations qu’il souhaite, même un budget non sincère. L’opposition aura beau demander des débats contradictoires, faire des amendements et manifester rien ne changera : le maire aura gain de cause, et cela pendant six ans. Hormis ses électeurs en vue du prochain scrutin, il ne devra en outre de comptes à personne, sauf à la trésorerie et à la préfecture pour des aspects purement administratifs. Le seul risque réel pour le maire est donc de voir sa majorité se fracturer, aussi il est important pour lui de soigner sa cohésion.

[Près de 80 000 lecteurs font confiance à la newsletter de The Conversation pour mieux comprendre les grands enjeux du monde. Abonnez-vous aujourd’hui]

Au total, le maire va pouvoir diriger sa commune sans contre-pouvoir réel. On est ici bien loin de la gouvernance des entreprises privées avec leurs conseils d’administration, voire de surveillance, avec des représentants des actionnaires. En effet, ces derniers sont relativement indépendants car ils n’ont pas été élus sur la liste conduite par le PDG (comme pour le maire) et qu’ils ont également des comptes à rendre à leurs mandants.

Le précédent des « emprunts toxiques »

Ces dernières années, la gestion des 36 000 communes de France a connu quelques ratés spectaculaires. Le cas des « emprunts toxiques » est à cet égard exemplaire. Dans les années 2004-2008, plus de 850 collectivités locales ont souscrit à des emprunts qui se sont avérés être des emprunts toxiques. Or, non seulement les élus savaient ce qu’ils faisaient – contrairement à ce qu’ils ont affirmé régulièrement – mais plus les élus savaient, plus ils signaient.

Dans un article publié en 2016, nous montrions à partir de l’expérience de la métropole grenobloise comment les élus responsables avaient fourvoyé leurs collectivités avec de tels montages financiers. Comme de très nombreuses collectivités locales, la métropole grenobloise a pu sortir de la nasse des emprunts toxiques grâce à l’appui de l’État, via le Fonds de soutien (SFIL). Mais outre que cette sortie a été très coûteuse financièrement, elle a eu également un coût politique.


À lire aussi : Emprunts toxiques : entre ignorance et petits calculs



À lire aussi : Emprunts toxiques : la douloureuse sortie de la Métropole grenobloise


Autre exemple emblématique : la région Poitou-Charentes qui sous la présidence de Ségolène Royal a souscrit pour près de 200 millions d’euros d’emprunts devenus toxiques, dont 47 millions à très haut risque, selon le cabinet EY. On pourrait malheureusement citer bien d’autres exemples de la mauvaise gestion financière de ces collectivités.

Si on peut comprendre les élus des collectivités demandant davantage de compétences et de responsabilités afin d’élargir leurs pouvoirs, on peut néanmoins s’interroger si « un nouvel équilibre des pouvoirs entre l’État et les collectivités territoriales permettra de restaurer la confiance et de donner un nouvel élan à notre pays », pour reprendre les mots du président du Sénat. À tout le moins, si cela devait se faire il conviendrait de revoir sérieusement la gouvernance des collectivités locales.

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